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 Les Chroniques d'Uromkar [création perso]

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Maxkime Liberty

Maxkime Liberty


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MessageSujet: Les Chroniques d'Uromkar [création perso]   Les Chroniques d'Uromkar [création perso] EmptyLun 12 Jan - 21:42

Alors voici un pitit roman que j'écris quand j'ai le temps. Je voudrais avoir votre avis alors lachez-vous ^^ mais sympathiquement Cool

Les Chroniques d’Uromkar

Partie I : L'Hiver Eternel

L’histoire que je vais vous conter est très ancienne. Elle est tirée d’un vieux grimoire poussiéreux trouvé dans la salle des chroniques du palais d’Uromkorag capital d’Uromkar. L’histoire se passe quelque temps avant que le soleil ne revienne en Uromkar. Uromkar était le pays le plus puissant du vieux continent jusqu'à ce que l’hiver éternel ne s’y abatte. Des esprits maléfiques profitèrent de l’hiver pour s’installer dans les vertes prairies d’Uromkar. Sous l’influence des esprits, les prairies qui dominaient le pays devinrent des zones désolées violement balayées par le vent et la neige. Elles forment désormais la Lande.
C’est pourquoi à cette époque des caravanes chargés de trouver des personnes possédant des résistances aux esprits sillonnaient la lande et prenaient en échange d’or les nouveaux nées et enfants élut pour protéger les hommes des esprits. Ces élut pouvait percevoir les esprits et résister à leurs pouvoirs. Les caravanes se faisaient appeler « les Caravanes Noires » en référence à leur couleur ténébreuse. Mais personne ne pouvait voir le visage des membres des Caravanes à cause des manteaux noires à capuche qu’ils portaient conférant à ces membres une sinistre réputation.
Mais revenons à l’histoire ou plutôt aux histoires car il s’agit des Chroniques d’Uromkar. Celle racontant l’épopée de deux héros, Ania et Maxkiame, qui ont chassés les esprits et délivré Uromkar de l’hiver éternel contre un grand sacrifice.

Voici leur histoire :

Prologue

C’était une nuit sans lune, les nuages cachaient toute la voute céleste, comme Uromkar en connait tant en ce moment. Lorsque les tempêtes de neiges sont de plus en plus fréquentes et violentes. Dans les ténèbres de la nuit deux ombres se dressaient sur une colline. Elles observaient une vieille ferme isolée. De la lumière filtrait des fenêtres crasseuses de la maison.
-Alors Loarc, c’est donc ici que l’esprit se taire, s’exclama une des silhouettes
-Groaaaaaarrrr ! Rugit férocement celui-ci.
-Vraiment dommage que tu ne puisses pas parler à la fin ! Bon allons-y où je vais me rendre compte que je passe mon temps à parler à une panthère qui ne comprend rien à ce que je raconte d’ailleurs
Ils s’élancèrent en direction de la bâtisse en courant dans la neige éternelle de la Lande. Ils l’avaient presque atteint quand un cri strident se fit entendre. Suivit de peu d’un cri de terreur humain :
-Aaaaaaaaaaaah !!!!!
-Oh non, plus vite Loarc ! On doit bannir l’esprit avant qu’il ne tue quelqu’un par plaisir d’apporter peur et chaos.
Ils se remirent à courir de plus belle vers l’épaisse porte de bois et tentèrent de l’ouvrir. En vain.
-J’aurais du m’en douté… elle est fermée. Loarc trouve une entrer !
La panthère des neiges longea le mur de sa démarche féline à la recherche d’une solution pour entrer dans le bâtiment. Elle aperçut rapidement une fenêtre située au-dessus d’un appentis brinquebalent. Elle sauta dessus, se mit devant la fenêtre, recula, pris son élan et bondit. Elle passa au travers de la vitre crasseuse et atterrit dans une chambre sordide.
-Mouais, pas la peine de me narguer c’est facile pour toi t’es un félin alors que moi chui juste un jeun humain.
C’est alors qu’une voie caverneuse sortant de partout à la fois se fit entendre.
-Approche Maxkiame ta bête est déjà entré alors à ton tour viens. Je t’attends.
La porte d’entré se déverrouilla d’un coup et s’ouvrit en grand sans un bruit.
-Bon il connait mon nom et sa c’est pas bon mais il m’a quand même ouvert la porte ce qui est gentil mais il reste maintenant à savoir si j’entre, réfléchie-t-il à voix haute.
Tout d’un coup un cri de femme parvint de l’intérieur, interrompant ses réflexions :
-Non laissez moi, je vous en supplie. A l’aide !
Ce rappelant que chaque secondes passées est synonyme de mort pour les victimes, il arrêta de tergiverser et s'exclama:
-Ok tu l’as cherché esprit de pacotille. J’arrive.
Sur ce Maxkiame entra en courant. Dès qu’il fut à l’intérieur la porte se referma et se verrouilla.
Des bruits de combat s’élevèrent peu à peu de la ferme qui fut soudainement illuminé d’une intense lumière blanche. Mais en un instant la lumière s’évanouis aussi rapidement qu’elle était apparut. Suivit de peu par le bruit des combats. Le silence reprenait ses droits sur la nuit lorsqu’il fut brisé par un hurlement inhumain. Tout les habitants de la Lande, humains comme animaux, qui l’entendirent frissonnèrent et se terrèrent bien au fond de leur lit.

Chapitre I

Un bruit de charrette se fit entendre dans la cours enneigée. Maxkiame ouvrit les yeux, se leva difficilement et sortie de la maison. Dans la cours se trouvait un homme debout a coté d’une charrette transportant des barriques d’un liquide noire. Loarc était allongé paresseusement dans la charrette. L’homme n’était pas à l’aise du tout. Il jetait des regards anxieux autour de lui. Lorsque qu’il vit Maxkiame il se ressaisit un peu et se tint un peu plus droit.
-Je vois que vous avez fais vite. C’est bien, comme sa on aura finis plus tôt, constata Maxkiame
-J’ai fait aussi rapidement que possible dès que j’ai vue le message accroché a votre panthère, il sortit alors un morceau de papier froissé de sa poche et le tendis au chasseur. Alors c’est quoi le boulot ?
-Gardez-le. On rassemble les corps dans la grande pièce et on brule le tout. Et oui ils sont tous mort si sa vous rassure monsieur Krocfield.
-Hm un liseur d’esprit doublé d’un chasseur, marmonna l’homme.
Maxkiame retourna dans la ferme, en ignorant les propos de Krocfield, suivit de Loarc. Krocfield jeta un regard chargé d’horreur et d’angoisse à la bâtisse puis entra à son tour.
*****
Krocfield revint dans la grande pièce. Il était encore un peu horrifié de ce qui c’était passé ici.
-Maitre chasseur, j’ai repartie le liquide comme vous l’aviez demandé.
-Bien, bien allez dont chercher la fille. Son corps se trouve dans la cuisine. Ramener le vite que nous puissions bruler le tout et retourner au village.
Une fois les consignes reçut l’homme parti d’un pas nonchalant vers la cuisine. Maxkiame jeta un regard par une fenêtre donnant sur la cours. Les chevaux tirant la charrette étaient de très belle bête à la robe d’un blanc-gris. Krocfield quand a lui était un peu petit et empâter suite a des années de bon et loyaux service a la taverne du village qu’il avait repris a son compte. Il était un excellent tavernier ayant toujours une chambre de libre et une oreille à l’écoute des rumeurs circulant dans la petite bourgade de Kramov.
Le chasseur fut tiré de ces pensés lorsque le barman l’appela depuis la cuisine.
-Maitre, maitre venez vite.
-Voyons qui a-t-il ? Je vous ai juste demandé de la déplacer, vous auriez peur d’une petite fille ?
-Mais venez j’ai l’impression qu’elle respire encore.
-Vous êtes sur ? Dans ce cas venez vite la déposer sur la table.
Krocfield arriva dans la pièce en portant la fille comme si de rien n’était. Maxkiame lui fit signe de la déposer sur la grande table. Elle y fut poser doucement et le chasseur commença son inspection du corps.
-Bon à première vue elle ne respire pas mais en faisant attention et en rapprochant la tête du corps on peut entendre un léger souffle et voir la poitrine se soulever et se rabaisser au rythme des inspirations et expirations. Donc oui elle est toujours en vie. Ce qui en soit et assez déconcertant et étonnant.
-Pourquoi donc maitre chasseur ?
-Ben seul peu de personne bénéficie de cette résistance aux sortilèges des esprits. Voyez cela comme une malédiction ou un don. Mais ce qui est étonnant c’est qu’elle semble avoir mon âge et elle n’a pas été ramassée par les Caravanes Noirs à la naissance. Pourtant d’après les livres que j’ai étudiées dans la demeure de mon maitre les Caravanes Noirs sont passé l’année de ma naissance donc pourquoi n’a-t-elle pas été sélectionnée ?
-Je n’en sais rien maitre. Mais pourquoi ne la mettrions nous pas dans la charrette pour retourner au village ?
-Oui vous avez raisons placer son corps dedans pendant que je m’occupe des derniers préparatifs.
Krocfield récupéras la fille dans ces bras et sortie de la ferme. Il avait finis de protéger la fille du froid avec des couvertures quand Loarc le suivit à l’extérieur. Il bondit dans la charrette et s’allongea aux coter de la fille. La panthère grogna lorsque le tavernier monta dans la charrette.
Pendant ce temps Maxkiame répandait de la poudre dans toutes les pièces de la maison tout en récitant des formules à voix basse.
*****
Maxkiame ressortie da le ferme quelques heures plus tard. Il avait mis le feu à la ferme au moment de sortir et le corps principal de la ferme brulait déjà de vive flamme.
-Merci de m’avoir attendus Monsieur Krocfield.
-Ba c’est naturel et je pense que vous auriez fait pareil.
-Oui vous avez raison, répondit-il, puis il ajouta a voix basse, Après tout vous êtes le seul à m’avoir fait confiance depuis mon arrivé.
Lors du voyage de retour au village, Maxkiame pus regarder la fille. Elle possédait des cheveux châtain lui arrivant aux épaules. Elle avait l’air assez grande de la même taille que lui estima t il. Son sommeil profond lui donnait un air d’ange tombé du ciel. Il fut tiré de sa contemplation lorsqu’ils arrivèrent au village.
Une fois sur la grande place, les habitants commencèrent à se rassembler autour de la charrette. Une fois tout le village réunis autour de la charrette le maire arriva. Maxkiame se tourna vers lui et dit :
-Monsieur le maire. Je me présente Maitre Chasseur d’Esprit Maxkiame. J’ai le plaisir de vous informer que l’esprit qui vous terroriser ainsi que les fermes alentour a été bannis mais au prix fort, il baissa les yeux et ajouta, Les habitants d’une ferme un peu plus au nord …
-Les Koracva, lui apprit Krocfield.
Maxkiame le remercia d’un signe de tête :
-Donc je disais malheureusement les Koracva sont tous mort excepté leur fille. Elle a miraculeusement survécue mais elle semble dans un coma profond.
Le maire garde le silence quelque instant le temps de réfléchir aux nouvelles fraichement apprissent.
-Maitre nous somme désoler de l’accueil que nous vous avons fait mais les mauvaises rumeurs concernant les Chasseur nous ont poussées à être méfiant. Si vous le souhaitez notre médecin peut s’occupé de la petite Ania. Combien va nous couter votre intervention ?
-Je ne vous ferez rien payer avoir bannis un esprit et sauvé des vies me suffit amplement. Mais si vous pouviez me donner cette charrette et son attelage.
-Mais pourquoi le voulez-vous?
-Pour transporter Ania, si elle s’appelle comme sa, jusqu'à la demeure de mon maitre. Il est la seul personne que je connaisse capable de la soigner et de me refaire un bâton par la même occasion.
-D’accord, Krocfield pourra sans doute vous les prêter, il se tourna vers le tavernier et celui-ci approuvât. Bien en l’honneur de votre victoire contre cet esprit le village organise une fête ce soir.
-Je ne vous en demandais pas temps, mais j’accepte volontiers. Merci. En attendant je serais dans ma chambre de la taverne à m’occuper d’elle.
Les badauds se dispersèrent petit à petit pour retourner à leur occupation ou pour préparer la fête. Maxkiame alla quand a lui dans sa chambre. Il fit trois pas, se doutant qu’il oubliait quelque chose il s’immobilisa, et se rappelant d’Ania retourna vers la charrette. Il alla a l’arrière, monta dedans, et pris Ania dans ces bras. En sautant de la charrette vers le sol il faillit perdre l’équilibre et tomber par terre. Heureusement le tavernier le rattrapa juste à temps.
-Merci
-Ba c’est normal. Vous voulez pas que je la porte plus tôt ?
- Euh si tenez prenez-la. Vous êtes un homme bon Krocfield.
-Oh ba vous savez on essaye tous de rendre ce monde meilleur en aidant notre prochain.
-Les dieux vous seront très reconnaissants de cette initiative.
Le tavernier prit Ania des bras de Maxkiame et se dirigea vers la taverne. Au lieu de rentrer par l’entré principale il prit un petit escalier qui montait vers des chambres situer à l’ écart du bruit de la grande salle. Maxkiame retourna près de la charrette et chercha Loarc des yeux. Lorsqu’il le vit couché sous les couvertures, il le secoua doucement pour le réveiller et lui fit signe de descendre. Loarc bondit hors de la charrette et suivit le chasseur jusqu'à leur chambre. Où ils montèrent pour se reposer. Ania occupant le lit Maxkiame choisit de dormir dans une sorte de sofa se trouvant dans la grande pièce de la chambre. Loarc s’endormit à ses pieds et se mit à ronronner. Maxkiame s’endormir tellement vite qu’il n’entendit même pas Loarc se mettre à ronronner a ses pieds.


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MessageSujet: Re: Les Chroniques d'Uromkar [création perso]   Les Chroniques d'Uromkar [création perso] EmptyLun 12 Jan - 21:43

Chapitre II

Maxkiame ne put dormir que quelques heures. Les premiers bruits de la fête le réveillèrent. Il se leva encore endormit et faillis marcha sur la queue de Loarc, celui-ci grogna et Maxkiame retira immédiatement son pied. Il alla vérifier comment se portais Ania et constata avec soulagement qu’elle dormait profondément. Il remarqua sur son visage ce qui semblait être un petit sourire. Il sortie de sa chambre, marcha dans le couloir jusqu'à la porte de sortie, l’ouvrit et descendis les marches. Il faillit glisser sur la neige qui s’était déposé pendant son sommeil. Il continuait à neiger mais cela ne gênait pas les habitants de Kramov qui avaient déjà commencé la fête.
Il se joignit a eux mais sans partager l’euphorie de la fête. Lorsque le groupe de musiciens commença à jouer une valse Maxkiame déclina plusieurs invitations. Cependant quand la fille du maire l’invita à danser, sentant le regard du maire se poser sur son dos, Maxkiame accepta. Il ne voulait pas froisser le maire surtout qu’il avait prévue de partir pendant la fête.
Une fois les slows terminer Maxkiame s’éclipsa discrètement vers la charrette que le village lui avait offerte. Alors qu’il chargeait ses affaires à l’arrière de la charrette le tavernier lui tomba dessus.
-Alors on veut déjà nous quittez ?
-Non enfin oui, mais je pense que vous comprendrez que je préfère partir maintenant. Les adieux c’est pas trop mon truc.
-Hum ok, mais juste comme sa quelle trajet allé vous prendre ?
-Eh bien je vais voyager avec la charrette, Loarc et Ania jusqu'à Uromkorag. Là-bas je vais essayer de trouver une caravane marchande avec escorte et je les accompagnerais jusqu'à Ukoma et je continuerais tout seul jusqu'à Erakor. Ce qui ne devrait pas être un problème.
-Bien, c’est un bon trajet que vous avez choisis je vais aller chercher Ania pendant que vous finissez de préparé la charrette.
Maxkiame hocha la tête et se remit à placer les vivres dans la charrette de façon a ce qu’Ania ait suffisamment de place.
Lorsque Maxkiame eut finis de ranger la charrette Krocfield arriva en portant Ania dans ces bras. Il lui avait passé une couverture sur le corps pour éviter que les habitants ne la voient et se posent des questions. Krocfield déposa Ania doucement à l’arrière de la charrette. Une fois Ania déposer dans la charrette Krocfield reparti rapidement. Maxkiame ne remarque même pas le départ précipiter de Krocfield tant il était occuper à préparer des fioles pour repousser les esprits. Une fois les concoction finis Maxkiame se releva et se retourna. Il fut surpris de se retrouvez nez à nez avec Krocfield qui revenait en portant des lanternes.
-Vous en aurez besoin pour le chemin de nuits je pense.
-C’est gentils a vous mais mon bâton peut me permettre d’éclairé une petite zone autour de moi. Cela me suffira.
-Heu, chasseur vous avez dit que votre bâton vous éclairerait mais je ne vois pas de bâton.
-Ah oui c’est vrai, il ajouta d’un air triste, Il a été brisé lors du combat.
-Prenez-les, il tendit les lanternes, mais vous comptez partir tout de suite n’est-ce pas ?
Maxkiame hocha la tête et sourit tristement :
-Oui je compte partir de suite. Pourriez-vous expliquez au maire une fois que je serais loin pourquoi je suis parti ? S’il vous plait.
-Comptez sur moi Chasseur.
Maxkiame grimpas sur la charrette, pris place derrière les rênes, adressa un signe de tête à Krocfield et ordonnas aux chevaux de partir. La charrette se mit à avancer doucement et sortis sans un bruit du village. Une fois la charrette hors de vue Krocfield se retourna vers le village et se dirigea vers la grande place pour annoncer au maire le départ du Chasseur d’Esprit.
Lorsque la charrette se trouva assez loin Maxkiame se retourna une dernière fois pour voir le village avant que celui-ci ne disparaisse dans la nuit noire. La charrette avançait difficilement dans la neige fraichement tombé. Maxkiame avait placé les lanternes sur des perches prévue a cette effet de chaque coter du banc du conducteur. Il voyait les flocons danser à la faible lumière des lanternes. Alors qu’il regardait la route une ombre la traversa. Immédiatement après Loarc se mit à grogner, au loin un hennissement se fit entendre bientôt rejoint par le hurlement des loups.
-Génial un Cavalier de la Lande
Sa phrase a peine terminé. Une ombre sur cheval le dépassa lui et la charrette, elle fit demis tour, dépassa la charrette dans l’autre sens et revint se mettre à coter de la charrette. Le cavalier fit adopter à son cheval le rythme de la charrette.
Les Cavalier de la Lande étaient des esprits vêtus de longue cape, une capuche masquant leur tête, une très vieille épée passée en travers de leur dos. Ces épées étaient capables de transpercer n’importe quoi, humain, esprit ou autre. De nombreuses personnes avait tentés de vaincre un cavalier pour s’approprier leur épée. Mais celle-ci devenait incandescente dès qu’une personne autre que l’esprit la touchait, la personne quand a elle était condamner à mourir dans d’atroce souffrance pour avoir osé poser la main dessus. Les Cavalier était des esprits très spéciaux ils attaquaient les autres esprits et les hommes au cœur impur. Tandis qu’ils protégeaient et guidaient ceux ayant un cœur pur.
L’esprit accompagna Maxkiame jusqu'à ce que le jour se lève. Avant le lever du jour l’esprit se mit à galoper vers l’Est. Lorsque le soleil se leva l’esprit n’était plus qu’un point noir sur l’horizon qui s’évapora dans la lumière.
*****
Maxkiame atteignit Uromkorag une semaine plus tard. Il arriva avec l’aube ce qui pouvait soit être interpréter comme un bon présage ou comme un timing parfait. Il ne rentra pas tout de suite dans la ville. Les portes étaient encore fermées. Il dut attendre quelque heures avant que les gardes de la nuit ne soient relever et que ceux de la journée n’ouvre les portes. Il entra enfin dans la ville vers 10 heures. Maxkiame demanda au garde en faction à la porte de lui indiquer le chemin d’une bonne auberge. Le garde le regarda d’un air méfiant. Il lui posa plein de question. Notamment pourquoi il transportait une fille inconsciente et une panthère dans sa charrette et surtout qu’est ce qu’il venait faire ici.
-Bon écouter, l’interrompit Maxkiame agacé par les questions, je suis le Chasseur d’Esprit Maxkiame et tout ce que je voudrais c’est que vous m’indiquiez le chemin d’une très bonne auberge. Pour répondre à vos questions je transporte cette fille inconsciente car je dois l’emmener à mon maitre à Erakor, la panthère c’est mon compagnon et si je suis ici c’est pour tenter de trouver une caravane avec qui voyager jusqu'à Beldior.
-Fallait le dire plus tôt que vous étiez un chasseur d’esprit, grommela le garde, on vous aurait fait entrer plus tôt. Pour l’auberge allez donc au « Bons Cochons » tous les mercenaires et autres escorteur y sont en attendant du travail. Vous en trouverez bien quelque uns qui escorterons une caravane allant à Beldior.
Maxkiame salua le garde de la tête et fit avancer la charrette dans la grande avenue. Le « Bons Cochons » était une des premières auberges se trouvant sur le coter gauche de l’avenue. Le coter droit était le coter commerçant, plein de maison de guilde marchande et de vendeur de nourriture, d’alcools, et d’objet divers.
Maxkiame entra dans l’auberge en laissant la charrette et Loarc devant. Lorsqu’il entra dans l’auberge, il fut assaillit par le bruit régnant dans la pièce. Quelques personnes se tournèrent vers lui pour savoir qui venait déranger leur habitude. Maxkiame se dirigea vers le tavernier, un petit homme rougeau et bedonnant.
-Excuser moi m’sieur, vous auriez une chambre assez grande avec deux lit ?
-C’est possible mais c’est pourquoi et z’etes qui vous ?
-Qui je suis et pourquoi j’en ais besoin sa n’a pas d’importance.
-C’est vous l’patron, répondit l’aubergiste, j’ai bien une chambre qui correspond a sa. Mais se seras 15 pièces d’or la nuits et 30 pièces d’argent le repas.
-Vos prix m’ont l’air convenable, c’est d’accord. Vous seriez au courant si une caravane doit partir pour Beldior ?
- Hum… laissez-moi réfléchir. Je crois que oui mais si vous voulez plus de renseignement aller voir ces deux gars là-bas Viraldor Komodag et Bleck Fleetrok.
-Merci du renseignement.
Maxkiame se dirigea donc vers les deux hommes. Il s’assit à leur table.
-On sait pourquoi vous êtes la, on a entendus votre conversation, alors moi c’est Viraldor Komodag et lui c’est Bleck Fleetrok indiqua-t-il en montrant son compagnon du doigt.
Viraldor était un homme grand jeune, il portait de longs cheveux châtain ainsi qu’un grand chapeau et long manteau. Sur le torse une cuirasse le protégeait il portait en bandoulière une ceinture contenant un arsenal de petits couteaux et de fioles magiques. Dans son dos était accrochés une arbalète et une épée fine.
Bleck Fleetrok avait des cheveux brun, des yeux marron le soir et vert la journée. Il portait un grand manteau avec des lame qui sortant des manches, des bottes en cuir des jambière en cuir. Une tunique en tissu sur le torse et une sorte de capuche sur la tête. Il possédait un plus tout un assortiment de dague plus ou moins hétéroclites.
Maxkiame utilisa ces sens magiques pour voir s’il avait le cœur pur ou pas. Malgré ces apparences douteuses les deux mercenaires avait bel et bien le cœur pur.
-Dite moi, vous n’avez pas vraiment l’air de mercenaire. Tous les mercenaires que j’ai croisés étaient équipés comme des chevaliers du passé mais il n’avait pas le cœur pur, c’était plutôt des escrocs. Tandis que vous vous m’avez l’air différent.
-Eh bien, a vrai dire. Je suis un ancien Répurgateur et lui un ancien assassin, dit Komodag.
-Ok, revenons à notre affaire. Quand la caravane part-elle?
-Mais nous ne vous avons jamais parlé de caravane…
-Laisse tomber, l’interrompit son compagnon, c’est un chasseur et il a inspecté nos cœurs et nos têtes. Il sait donc que nous escortons une caravane jusqu'à Beldior.
-Votre compagnon a raison. Et j’ai une requête à vous faire. Si vous pouviez me suivre a ma charrette.
Les mercenaires acceptèrent de la tête, se levèrent et suivirent Maxkiame jusqu’à la charrette se trouvant en face de l’auberge. En sortant de l’auberge ils constatèrent qu’une foule c’était rassembler autour de la charrette d’où s’élevait des grognements féroce. Maxkiame en entendant cela se précipita vers la charrette. Un garde de la ville l’arrêta avant qu’il n’atteigne la charrette.
-Houlà doucement jeune homme et ou courez vous comme sa ?
-Mais laissez-moi. Cette charrette m’appartient ainsi que la panthère.
-C’est bien beau tout sa mais pourquoi transportez vous une fille inconsciente a l’arrière de votre charrette ?
Maxkiame jeta un regard vers la charrette et vit que Loarc tournait sur le plateau arrière en grognant pour empêcher les badauds d’approcher
-Bon ok je vais tout vous expliquer. Je suis un Chasseur d’Esprit et cette panthère est mon compagnon, la charrette nous a été offerte par les habitants du village de Kramov, et si je transporte une fille inconsciente c’est parce que je dois l’emmener a mon maitre a Erakor. Voila vous savez tout alors maintenant laissez moi passer.
Suite à ces derniers mots le garde s’écarta tout de suite. Le reste des gardes et les mercenaires s’occupèrent de disperser la foule pendant que Maxkiame rassemblait ces affaires. Il demanda à Viraldor de transporter le corps de la fille jusqu'à sa chambre de la taverne.
Une fois Loarc, Maxkiame et les mercenaires réunit dans la chambre, une discussion ayant pour cadre le trajet de la caravane s’engagea.
A la fin Maxkiame récapitulât ce qu’ils avaient conclut.
-Donc la caravane part ce soir, nous voyageons de nuits jusqu’au Guet. Là-bas on se repose un ou deux jours et ensuite on repart jusqu’à Beldior. A Beldior je vous quitte pour poursuivre jusqu'à Erakor c’est bien sa ?
-Oui, Komodag regarda son compagnon et celui-ci hocha la tête, sauf que l’on vient de décider de poursuivre notre route avec vous après Beldior. Bleck vient d’avoir une sorte de vision dans laquelle il nous a vus combattre des démons. La fille était réveiller et avec nous.
-Hum…un présage. Auriez-vous le don de seconde vue, demanda-t-il à Fleetrok.
Celui-ci hocha les épaules avant de lui répondre :
-A vrai dire je n’en sais rien sauf que m’a grand-mère l’avait aussi.
Maxkiame resta muet un instant leur répondis :
-Sa ne me gène pas de vous avoir avec moi jusqu'à Erakor j’en suis même heureux. Alors marcher conclut ?
-Marcher conclut, dirent d’un seul coup les deux mercenaires.
Le marcher conclut et la discussion terminer Maxkiame invita Bleck et Viraldor à déjeuner. Ils refusèrent poliment en expliquant qu’ils devaient préparer le voyage. Maxkiame descendis donc déjeuner tout seul. A la fin de la journée il régla le tavernier et se rendit au point de rendez-vous convenus avec les mercenaires. Le lieu en question était une petite zone de terre sur le bord de la route de l’Est. Un grand nombre de tentes et de charrette en occupait l’espace. Maxkiame plaça donc sa charrette en périphérie du campement. Komodag vint à sa rencontre.
-Bien vous êtes à l’heure les marchands sont en train de ranger leur équipement. Ils seront près dans environ une quinzaine de minute.
-D’accord.
-Si vous pouviez nous aidez à lever le camp comme sa on pourrait partir plus vite.
-Ok sa marche.
Maxkiame se dirigea vers le campement. Il laissait la protection de la charrette à Loarc, sachant comment la panthère avait tenus à distance les gardes et badauds de la ville de petit marchand ne devraient pas poser de problème. Ils mirent un peu moins de quinze minutes pour démonter les tentes et placer le tout dans les charrettes.
Ce travail accomplis les marchands se dirigèrent vers leur charrette. Maxkiame alla lui aussi vers sa charrette. Il fut heureux de ne voir aucune personne trainant autour. Viraldor vint le voir et lui dit:
-Compte tenu de votre statue de Chasseur d'Esprit, les marchands on eu l'idée de vous placer a l'avant de la caravane. Ils pensent que vous pourriez écarter les esprits du passage et faire en sortent qu'aucun esprit ne les attaque.
-Ils on tort et raison à la fois. Pour ce qui est de dégager le chemin la caravane je peux effectivement repousser les esprits mais en ce qui concerne protéger toute la caravane, là j’ai un doute. Je peux juste placer de petite lanterne dans les charrettes des marchands. Ces lanternes devraient normalement tenir éloigner les esprits. Mais j'espère ne pas rencontrer d'esprit.
Komodag hocha la tête et rejoignis son compagnon qui était en train de seller les chevaux. Maxkiame dirigea sa charrette sur la route derrière lui d'autres charrettes si mirent à le suivre sur la route. Viraldor et Bleck s'occupait d'aider les marchands qui avait du mal à faire quitter le bas coter à leur charrette.


Dernière édition par Maxkime215 le Sam 12 Sep - 16:45, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Les Chroniques d'Uromkar [création perso]   Les Chroniques d'Uromkar [création perso] EmptyLun 12 Jan - 21:43

Une fois la caravane prête au départ, les mercenaires donnèrent les lanternes aux marchands. Ceux-ci les acceptèrent sans aucun problème. Lorsque la caravane se mit en route le soleil se couchait. La caravane avançait lentement mais juste assez vite pour rejoindre Le Guet dans les temps. Alors que la lune était à son zénith, des hurlements de loups se firent entendre au loin.
*****
Le voyage jusqu’au Guet se déroula sans incident majeure. Les bandits et les loups étaient tenus à distance par la vue des mercenaires pour les un et la panthère et l’aura du chasseur pour les autres. Lorsqu’ils atteignirent Le Guet les marchands se reposèrent et vendirent quelques objets aux habitants et aux voyageurs de passage. La caravane reprit son chemin après quelque jour de repos et de ventes.
Ils arrivèrent à Beldior une semaine plus tard. Maxkiame alla voir le chef des marchands pour parler.
-C’était généreux de votre part de m’avoir accepté pour le voyage.
-Oh vous savez. Il faut bien se serrer les coudes par les temps qui courent.
-Oui vous avez sans doute raison. Encore merci et au revoir.
Maxkiame quitta la tente du marchand et tomba sur les deux mercenaires.
-N’oubliez pas notre marcher Chasseur ?
-Mais je n’oublie rien du tout. Rendez-vous à la taverne du « Mort qui boit » ce soir.
-D’accord mais cette taverne à sinistre réputation.
-Auriez-vous peur d’une innocente taverne ?
Les mercenaires ne répondirent rien et entrèrent dans la tente pour se faire payer.
*****
La taverne était pleine d’habituer et de gens de passage. Maxkiame était aussi dans un box se situant dans un angle de la salle. L’air était lourd et plein de fumée. Les mercenaires le trouvèrent attablé en train de boire et de manger. Ils le rejoignirent.
-Bienvenue a ma table. Vous êtes d’accord pour voyager avec moi ? demanda Maxkiame.
-A vrai dire on en marre du boulot de mercenaire et on aimerait découvrir du pays, commença Komodag.
-Bossez avec moi… Ba comme vous voulez un peu de compagnie ne fait pas de mal.
-Content de l’apprendre. Quand partons-nous ? demanda son compagnon
-Tout de suite. Répondit Maxkiame avec un léger sourire.


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MessageSujet: Re: Les Chroniques d'Uromkar [création perso]   Les Chroniques d'Uromkar [création perso] EmptyMer 14 Jan - 19:49

Je ne pense pas etre trop méchant en disant que certains dialogues sont de purs pompages du seigneur des anneaux? Ni en disant qu'une bonne correction orthographique te ferais du bien =)
Sinon, c'est un bon récit, qui démarre bien. La suite pour bientot?
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MessageSujet: Re: Les Chroniques d'Uromkar [création perso]   Les Chroniques d'Uromkar [création perso] EmptyMer 14 Jan - 23:21

Dialogue du seigneur ? pas fait exprès cite les stp. Sinon voila la suite :

Chapitre III
-C’est encore loin ?
-Non, non on se rapproche là, lui répondit Maxkiame.
-Mouais ba moi je trouve ça long.
-La ferme Viraldor. Ça sert a rien de sa plaindre et c’est déjà assez dur de conduire une charrette sur ces routes de montagnes alors ferme la un peu.
Komodag lança un regard noir à son compagnon. La petite troupe continua d’avancer dans un silence pesant. N’osant plus troubler le silence régnant sur ces lugubres montagnes. Car aucun être vivant ne vivait la. La mort s’y était installée emmenant avec elle son silence.
Une dizaine de virages tortueux plus loin :
-Il ne reste plus qu’un col et quelques virages à franchir. Environ 10 lieus, informa le chasseur.
-Faut vraiment être barjo pour aller se terrer ici, constata Komodag.
-Oui mais au moins, ça permet d’être tranquille et d’éviter les radicaux répondit Bleck.
-Ah oui les radicaux. Comme si les esprits ne suffisent pas.
-Je voudrais pas être rabat-joie mais c’est pas le coin le plus tranquille ici. Mon maitre s’y est exilé pour chasser et mieux connaitre les esprits. C’est pas les esprits les plus sympas qu’in trouve par là. Les radicaux sont gentils par rapport a ce qu’il y a la. Si vous avez peur de ces humains, partez, dit-il sans adressez un regard àa ces compagnons.
-Oh là, là et moi qui pensais être tranquille un moment.
-Sur ce coup là je suis d’accord Komodag, renchérit son compagnon.
-Mais les esprits ne s’approchent pas du refuge où mon maitre vit, rassura Maxkiame. Il regarda en l’air. On devrait accélérer la nuit approche et il serait plus prudent de remettre Ania aux soins de mon maitre avant la nuit. Il ne fait pas bon de traîner la nuit dans les montagnes.
-Mais pourquoi ?, demanda le mercenaire.
-A cause du froid et de certaines choses qu’il faut mieux évoquer à l’abri.
-D’accord mais ton maître nous renseignera-t-il ?
-Je n’en sais rien, avoua le chasseur.
La troupe accéléra l’allure à mesure que le soleil baissait vers l’horizon.
*****
Ils entamèrent les derniers mètres lorsque le soleil disparue totalement derrière l’horizon. Ils continuèrent d’avancer mais ils accélérèrent l’allure. Ils ne s’accordèrent aucune pose pour allumer les lanternes. Etant enchantées elles s’allumèrent automatiquement. Les chevaux commençaient à s’affoler à mesure que les ténèbres s’épaississaient. Les lanternes maintenaient une petite zone lumineuse dans laquelle avançaient la charrette et les chaux portant les mercenaires. Loarc se leva et se mit à grogner en direction des ténèbres. Des formes sombres se déplaçaient rapidement et se fondaient dans l’obscurité alentour. Des paroles et des cris venant d’autre pars s’élevaient depuis la noirceur des ténèbres. Des ricanements accompagnaient des paroles insancés et cela ne fessait que croitre la tension pesant sur la troupe. Les Ombres étaient sur eux.
Viraldor s’éloigna de la charrette pour se rapprocher des ténèbres.
-Komodag revient ! s’exclama Maxkiame. N’écoutez pas les voix et n’allez pas dans les ténèbres. Vous ne gagnerez que la folie et la plus lente et douloureuse des morts. Ces créatures vous détruirons lentement l’esprit avant de faire la même chose à votre corps si elle vous garde. Alors restez dans la lumière !
-Comment sa si elle nous garde ? demanda Bleck.
-Il arrive qu’elles relâchent certain humain qu’elles ont entrainés dans la folie mais ce ne sont plus que des monstre assoiffer de sang n’ayant d’humain que l’apparence.
Une grande forme s’élevait devant la troupe, il s’agissait d’Erakor, Le Refuge. La façade n’était qu’en partis éclairer.
-Au faite comment s’appelle ton maitre ? s’interrogea l’ancien assassin.
-Il se nomme Mackol Lankashunt, Maitre Chasseur, dirigeant et fondateur de l’ordre d’Alkazor, dit Maxkiame le regard emplit de respect et d’honneur.
-Quelle est cet ordre d’Alkazor?
-C’’est l’ordre auquel mon maitre et moi appartenons mais il vous donnera plus d’information.
-Attention des bêtes arrivent ! cria Komodag.
Maxkiame et Bleck se retournèrent.
-Des goules ! Ca peut pas être pire maintenant, s’exclama Maxkiame, il réfléchit puis ajouta. Allez rejoindre Komodag. Je m’occupe d’Ania et d’appeler mon maitre.
Bleck hocha la tête descendis de cheval et alla rejoindre son compagnon. Maxkiame déplaça Ania de l’arrière de la charrette jusqu’au banc du cocher et se mit à appelle son maitre. Mais un cri l'empêcha de faire plus.
-Maxkiame! D’autre sur les côtés! Occupe-t-en.
-Saloperie de bête, elles tentent de nous encercler, s’exclama le jeune homme avec fureur. Rapprochez vous de la charrette.
Maxkiame descendis de la charrette et vit une goule lui sauter dessus. Les goules étaient des hommes dont l’esprit avait été détruit par les ombres. Elles possédaient un corps d’hommes mais se déplaçaient à quatre pattes, elles pouvaient effectuer de grand bonds a l’aide de leurs jambes. Leurs corps étaient couverts de coupure due à leur déplacement dans les grottes montagneuse. Elles possédaient des bras musclés et fins terminés par des griffes acérer. Maxkiame vit la goule lui tomber dessus et s’apprêtant à le dévorer de ses dents mais une ombres attrapas la goule au vol. Loarc venait de sauver la vie à son maitre.
Maxkiame se ressaisit, se retourna et en vis une deuxième se préparant à sauter. Il l’en empêcha d’une décharge psychique broyant le monstre. Deux autres goules en avaient profité pour lui bondir dessus. Mais elles ne l’atteignirent jamais. Le chasseur d’esprit les cueillit d’une langue de feu, les incinérant instantanément. Des flammèches dansaient dans sa main gauche. Mais de plus en plus de goules approchaient et les aventuriers reculèrent jusqu’à avoir le chariot dans leur dos. Ils étaient cernés. Komodag protégeait l’arrière de la charrette. Il avait laissé tomber son arbalète de poing et son épée courte contre une grande épée à deux mains. Bleck à droite de la charrette se défendait à l’aide de dague et d’une épée courte. Il envoya sa dernière dague dans le coup d’une goule qui s’effondra, il sortit sa deuxième épée pour combattre avec une épée dans chaque main. A gauche Maxkiame et Loarc combattaient l’avancer funeste.
Loarc bondissait de goule en goule, Maxkiame lui se servait de sa magie. Ses yeux brillaient et dans leurs fonds brulait la flamme de l’énergie magique. Alors que tout semblait perdus une intense lumières blanche apparut au beau milieu de la nuit. Cette lumières dispersa les Ombres, extermina et brula les goules, éblouis la troupe. Tandis que la lumière faiblissait une forme s’avança, la lumière formait un halo lumineux autour d’elle. Elle se dirigea vers la troupe qui retrouvait peu à peu la vue. Les aventuriers se rassemblèrent face à la forme venant d’Erakor. Ils étaient prêts à se battre malgré leurs blessures et leur fatigue. Alors que la forme avançait, elle parla d’une voix rave et forte.
-Bienvenue chez moi jeunes gens. Baissez donc vos armes.
Maxkiame s’avança et s’agenouilla devant la silhouette.
-Maitre, je vous remercie de nous avoir sauvés.
-Je savais bien que c’était toi. Qui d’autre aurait pue s’attirer les foudres de l’enfer sinon toi. Relève-toi.
Maxkiame se redressa. Komodag commença à s’énerver.
-Si vous nous avez vus et entendus. Pourquoi les avoirs laissez approcher ?
Fleetrok renchérit :
-Mon compagnon s’énerve peut-être mais il a raison. Pourquoi ?
Le jeune chasseur les fit taire d’un signe de la main, puis ajouta fixant son maitre droit dans les yeux : Il nous testait.
-Pourquoi nous tester et dans quelle but ?
-Vous avez l’esprit inquisiteur maître Fleetrok. Mais certaines choses ne doivent être dites qu’en temps voulus. Maintenant si vous voulez bien rentrez dans ma demeure. Komodag transportez la fille à l’intérieur.
Komodag acquiesça sans se demander comment Mackol savait pour Ania. Il avait vue beaucoup de chose étrange durant le voyage. Il prit donc Ania dans ses bras et la transporta à l’intérieur du Refuge.
Erakor était constitué de deux bâtiments. Une grande tour de pierre faisant office d’observatoire et de bibliothèque où s’entreposait des ouvrages et du matériel magique. Le deuxième bâtiment ressemblait à une grande maison avec un étage. A l’étage l’on trouvait des chambres et une grande bibliothèque. Celle-ci contenait une plus grande diversité d’ouvrage dont une majorité parlant des esprits et autres monstres. Certains avaient été écrits par Mackol. Le rez-de-chaussée comprenait une cuisine, une salle mangé, un grand salon et une pièce d’entrainement contenant toute sorte d’arme allant de l’épée au bâton en passant par les dagues.
Komodag porta Ania jusqu’au salon où il la déposa sur un divan.
-Je m’appelle Mackol Lankashunt. Je suis le maître des lieux et également Maître Chasseur d’Esprit mais vous le savez sans doute déjà, ajouta-t-il en lançant un regard amusé à Maxkiame.
Il reporta son attention sur ce dernier en ajoutant :
-Tout ne m’a toujours pas été dit pourquoi as-tu amener cette jeune fille ici et surtout pourquoi est-elle inconsciente ?
-Oui je vais vous expliquer, maitre.
Mackol, les deux mercenaires et Maxkiame s’assirent. Une fois confortablement assis, Maxkiame commença à raconter son voyage. De son combat contre l’esprit et la découverte d’Ania à l’aventure dans les montagnes en compagnie des mercenaires. A la fin il expliqua ce qu’il attendait de son maître.
-Tu as bien fait de me l’amener. Je vais commencer à l’examiner ce soir. Allez vous coucher.
-Je crois que Komodag nous a pas attendus pour s’endormir, ajouta Fleetrok en indiquant son compagnon du pouce. Laissez-moi le réveiller.
L’assassin se rapprocha de Komodag et se mit à hurler dans ses oreilles.
-Répurgateur Komodag ! On dort encore pendant les exercices. Je vais vous réveillez-moi! Allez cent-cinquante pompes! Et plus vite que sa!
Surpris et totalement désorienté Komodag sauta de son fauteuil, s’allongea et commença à faire les pompes. Au bout d’une dizaine il se demanda ce qu’il faisait par terre, se releva et regarda son compagnon. En voyant son air moqueur il comprit qu’il venait de se faire avoir.
-Tu vas me le payer mon pote, lança-t-il à Bleck.
Celui-ci lui répondit par un grand sourire.
-Bon allez vous couchez maintenant. Vos chambres sont prêtes, dit Mackol.
Les aventuriers montèrent à la suite l’escalier pour gagner leurs chambres et leur première vraie nuit de sommeil depuis plusieurs semaines. Tandis qu’ils s’endormaient Mackol resta dans le salon pour commencer à examiner le mal qui gardait Ania dans un profond comma.


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MessageSujet: Re: Les Chroniques d'Uromkar [création perso]   Les Chroniques d'Uromkar [création perso] EmptyMer 14 Jan - 23:21

Chapitre IV

L-La journée n’est pas finie, soupira Mackol.
-On dirait bien.
-Je vais aller voir et reviendrais vous soignez.
-Pas la peine de vous occupez de moi. Bleck va me réparer. Sa lui serviras d’entrainement, ajouta le mercenaire avant de rire.
-Vous avez raison, je vous laisse à ses soins, dit Mackol juste avant de quitter la salle.
Avant d’aller dans le salon il passa dans la tour prévenir Bleck que Komodag attendait ses soins. Arriver dans le salon il observa Maxkiame déposer des serviettes humides sur le front d’Ania. Elle commençait à s’agiter. Mackol s’approcha et aida son apprenti.
-Bien tu as eu raison de lui appliquer des serviettes humides.
-Ce n’est pas normal qu’elle soit dans cet état. Le mal était pourtant partis, murmura Maxkiame.
-Elle doit cauchemarder. Rassure-toi c’est bon signe, ça veut dire qu’elle n’est plus dans le coma mais dans une phase de sommeil. Elle ne va pas tarder à se réveiller. Tu peux enlever la serviette mais fais attention à ceux qu’elle ne tombe pas.
Maxkiame hocha la tête, enleva la serviette et s’assit dans un fauteuil se trouvant à proximité du divan où était étendus Ania. Mackol alla chercher Fleetrok à la salle d’entrainement.
-Viens, lui dit-il, je vais t’apprendre deux, trois trucs en plus.
Fleetrok rejoignis Mackol et ils allèrent dans la tour. Komodag resta seul un moment puis se leva pour aller rejoindre Maxkiame.
-Tout va bien ? demanda le mercenaire en entrant dans le salon.
-Oui elle se réveille doucement.
-Je suis là pour te seconder si tu veux dormir, réveille-moi et je veillerais a ta place, dit en souriant Komodag.
Le jeune Chasseur le remercia d’un signe de tête.
-On est une équipe c’est normal. Et elle aussi en fait partis mais sans le savoir, ajouta-t-il en désignant Ania.
-Tu veux bien veillé ? Je suis crevé.
-Pas de problème.
Maxkiame s’endormit presque aussitôt après avoir fermé les yeux. Komodag sortis une pipe de sa poche et l’alluma. Il regarda ensuite tour à tour Maxkiame et Ania. En les regardant une penser traversa son esprit le faisant rire.
-Pourquoi ris-tu ? l’interrogea son compagnon qui venait d’apparaitre à l’embrasure de la porte.
-Pour rien. Je me disais juste qu’ils pourraient former un beau couple.
-Mouais, c’est vraiment drôle. Arrête de divaguer et veille sur eux. Sur ce Bleck partit et retourna dans la tour emportant un jambon prit dans la cuisine.
Plusieurs heures passèrent durant les qu’elle Komodag alla manger un morceau dans la cuisine. Il réveilla Maxkiame. Ania commençait à se réveiller. Les deux amis essayaient de la maintenir sur le divan. D’un coup elle ouvrit les yeux et se redressa. Elle était paniquée. Elle respira de grande bouffé d’air puis se tourna vers les Deux compagnons
-Où suis-je et qui êtes-vous ? demanda-t-elle terrorisé par ces inconnus.
-Calmez-vous et dites-moi de quoi vous souvenez vous en dernier ? lui demanda Maxkiame.
Elle le regarda d’un air méfiant pendant un moment, réfléchit puis obéis..
-Je me souviens d’une chose horrible rodant dans ma maison. Une chose faite de ténèbres et une panthère accompagnée d’un homme avec une capuche combattant la chose. Puis plus rien à part un flash lumineux.
-Je vais vous expliquer et vous raconter ce qui c’est passé. Je suis entré chez-vous pour combattre cet esprit. J’ai réussie à le terrasser mais malheureusement votre famille est morte. Je vous ai retrouvé inconsciente plus tard. J'ai été obligé de bruler votre maison ainsi que votre famille. J’en suis désolé
Ania fut choquée par ces révélations. La tristesse s’empara d’elle mais elle ne pleura pas voulant rester digne devant ces étrangers. Elle demanda ce qui l’avait conduit ici. Maxkiame commença à lui raconter le voyage tout en répondant aux questions qu’elle posait et en éclaircissant quelques points lorsqu’elle le demandait.
Après que Maxkiame eu commencé le récit Komodag s’éclipsa discrètement. Il se balada dans la maison avant de sortir. Lorsqu’il sortit, la lumière lui fit cligner des yeux. Le soleil brillait intensément à cette altitude et il était à la moitié de sa descente. Komodag respira à plein poumon l’air pur de la montagne puis se dirigea vers la tour. Il s’arrêta devant l’entré, hésita à frapper, attendit un peu puis entra. La porte s’ouvrit sur un escalier qu’il grimpa. A la moitié de la tour l’escalier atteignait un palier, avant de continuer à monter vers l’observatoire. Une porte se dressait à sa gauche. Il frappa, attendit, puis ouvrit. Komodag pénétra dans la bibliothèque. Mackol et Fleetrok étaient assis dans des fauteuils, Mackol expliquait quelques notions arcaniques à Fleetrok. Il s’interrompit en entendant Komodag entrer, celui-ci lui fit signe de continuer. Lorsqu’il eu finit Mackol se tourna Komodag :
-Que nous veut l’honneur de votre visite ? demanda-t-il.
-Ania c’est réveillé. Maxkiame s’occupe d’elle et répond à ses questions, expliqua Komodag
-Intéressant. Elle a récupérez plus vite que je l’aurais cru, elle possède réellement le don, qui plus ait il à l’air assez fort en elle. J’aurais peut-être l’honneur de former une nouvelle élève, qui sait ?
-Peut-être bien. Ce serait une bonne chose. Les esprits augmente et devienne de plus en plus violent.
-Il n’y a pas que l’esprit, marmonna Mackol. Il y a aussi les radicaux ces humains pactisant avec les esprits. Laissons ses sombres pensé de coté et allons voir comment elle se porte.
Mackol se leva, suivit des mercenaires. Ils sortirent de la tour et entrèrent dans la maison en même temps due le soleil se couchait. Lorsqu’ils arrivèrent Maxkiame parlait avec Ania.
e lendemain matin lorsque Maxkiame se leva, en même temps que le soleil. Il descendit les escaliers et alla dans le salon voir comment allait Ania. En y rentrant il découvrit son maitre à son chevet. Il se demanda s’il avait passé la nuit ici.
-Tu te lève toujours avec le soleil à ce que je vois. Entre donc.
-Comment va-t-elle ? demanda-t-il en posant son regard sur Ania.
-Elle se porte bien je crois avoir repoussé le mal qui était en elle.
-Merci. Je croit avoir ressentis que son destin était important.
Mackol l’interrogea du regard, Maxkiame lui répondit :
-Une intuition.
Il n’avait pas détaché ses yeux d’Ania de tout l’échange. Ils restèrent un moment silencieux à méditer. Un bruit dans l’escalier les interrompit. Ils sortirent du salon pour voir ce qui faisait ce bruit. Ils virent Komodag sortant de la cuisine avec une bassine remplis d’eau. Komodag les vit et leur adressa un sourire. Il remonta l’escalier et se dirigea vers la chambre de son compagnon. Il ouvrit doucement la porte et s’approcha du lit où dormait l’assassin. Il se tenait au pied du lit et la porte était restée ouverte pour pouvoir partir le plus rapidement possible. Komodag hurla et jeta l’eau au jeta lui au visage de son compagnon. Bleck se réveilla en sursaut mais l’eau qu’il venait de recevoir lui éclaircie les idées. Il avait été trop fatigué pour se déshabillé la veille et il se retrouva totalement tremper. Il se jeta à la poursuite de Komodag. Dans le salon Mackol lança un regard interrogateur à Maxkiame en entendant le bruit. Celui-ci haussa les épaules en ajoutant :
-Ils décompressent dès qu’ils le peuvent. Ce sont alors de vrais gamins.
-Heureusement que je t’ais eu comme élève. Je sais quoi faire pour calmer de grands enfants, mais tu semble avoir changé. Sur ce il ajouta d’une voix forte. A table!
Les bruits cessèrent peu de temps après et les mercenaires descendirent. Mackol et son apprentis avait déjà commencé à déjeuner quand arrivèrent les deux compagnons. A la fin du repas Mackol se leva et annonça :
-Bien, vous êtes réveiller et en forme. L’entrainement commence dans 2 heures. Allez-vous préparer.
Maxkiame quitta la table et alla se laver et se préparer pendant que les mercenaires finissaient de manger.
-Vous êtes concernez, messieurs.
Ceux-ci regardèrent étonner Mackol qui leur sourit. Ils finirent donc de déjeuner en vitesse et allèrent se préparer.
Ils se retrouvèrent tous dans la salle d’entrainement. Maxkiame et les deux mercenaires faisaient face à Mackol. Ils attendaient en silence que Mackol prenne la parole. Lorsque celui-ci la prit ils le regardèrent fixement au lieu de regarder autour d’eux.
-Je vous ai amené ici pour vous enseigner de nouvelle technique de combat. Pour toi, Viraldor Komodag, le combat des esprits avec des armes enchantés. Toi, Bleck Fleetrok, l’entrainement à la concoction de poison et de liquide efficace contre les esprits. Quand a toi Maxkiame tu vas terminer ton entrainement. Maxkiame et Komodag vous allez vous affrontez en guise de début d’entrainement. Vous utiliserez des armes en bois et bien sûr la magie pourra être utilisée.
Komodag allait intervenir mais Mackol le coupa.
-Lorsque vous affronterez un esprit vous ne serez pas à armes égales. Alors pourquoi s’entrainer en combat égaux, l’un des deux auras toujours l’avantage. Commencez votre combat. Toi, dit-il, en désignant Fleetrok, tu me suis.
Mackol et Fleetrok quittèrent la salle. Komodag et Maxkiame se mirent en position de combat.
-On commence doucement, Kom ?
-Ok comme tu veux.
Une fois en position les combattants commencèrent à se déplacer de côté tout en effectuant un cercle. Ils ne se quittaient pas des yeux. Komodag se déplaçait légèrement vouter une épée dans une main et sa chaine dans l’autre. Maxkiame marchait en étant droit, il avait rabattu sa capuche sur sa tête mais regardait Komodag dans les yeux. Il tenait simplement son bâton dans la main gauche. La droite étant prête a utilisé la magie.
Komodag chargea, il lança sa chaine mais elle fut déviée par le bâton. Il brandit son épée et l’abattit droit sur la tête de Maxkiame. Le chasseur esquiva, abattit son bâton sur la nuque de Komodag. Par un coup de maitre de la part de Komodag, la chaine fit dévier le bâton en s’enroulant fermement dessus. Le guerrier tira sur sa chaine obligeant Maxkiame à la lâcher. Mais une impulsion psychique envoya le bâton droit sur la tête de Komodag, le percutant de plein fouet. Puisant dans ses dernières ressources psychiques Maxkiame envoya voler Komodag sur le mur. Le mercenaire envoya sa chaine s’accrocher a une poutre. Son action l’empêcha de s’écraser sur le mur. Mais lui déboita l’épaule gauche. Accrocher à sa chaine il se balança, lâcha, tomba vers le sol et percuta Maxkiame. Ils roulèrent à terre. Komodag se releva mais Maxkiame fut plus rapide et il abattit son bâton sur Komodag. Le mercenaire s’effondra par terre, abandonnant le duel.
*****
Mackol revint dans la salle d’entrainement et ne trouva que Komodag soignant ses blessures. IL avait du sang sur le visage et son bras pendait à son coté.
-Où est mon apprenti ? demanda Mackol.
-Il est au chevet d’Ania, je crois.
A cet instant Maxkiame entra en courant dans la salle.
-Maitre ! Maitre ! Je crois qu’Ania se réveille. Elle se réveille maitre !
-Eh bien que fais-tu à attendre là ? vas-y je te rejoins.
Maxkiame hocha la tête et repartit aussitôt.
-La journée n’est pas finie, soupira Mackol.
-On dirait bien.
-Je vais aller voir et reviendrais vous soignez.
-Pas la peine de vous occupez de moi. Bleck va me réparer. Sa lui serviras d’entrainement, ajouta le mercenaire avant de rire.
-Vous avez raison, je vous laisse à ses soins, dit Mackol juste avant de quitter la salle.
Avant d’aller dans le salon il passa dans la tour prévenir Bleck que Komodag attendait ses soins. Arriver dans le salon il observa Maxkiame déposer des serviettes humides sur le front d’Ania. Elle commençait à s’agiter. Mackol s’approcha et aida son apprenti.
-Bien tu as eu raison de lui appliquer des serviettes humides.
-Ce n’est pas normal qu’elle soit dans cet état. Le mal était pourtant partis, murmura Maxkiame.
-Elle doit cauchemarder. Rassure-toi c’est bon signe, ça veut dire qu’elle n’est plus dans le coma mais dans une phase de sommeil. Elle ne va pas tarder à se réveiller. Tu peux enlever la serviette mais fais attention à ceux qu’elle ne tombe pas.
Maxkiame hocha la tête, enleva la serviette et s’assit dans un fauteuil se trouvant à proximité du divan où était étendus Ania. Mackol alla chercher Fleetrok à la salle d’entrainement.
-Viens, lui dit-il, je vais t’apprendre deux, trois trucs en plus.
Fleetrok rejoignis Mackol et ils allèrent dans la tour. Komodag resta seul un moment puis se leva pour aller rejoindre Maxkiame.
-Tout va bien ? demanda le mercenaire en entrant dans le salon.
-Oui elle se réveille doucement.
-Je suis là pour te seconder si tu veux dormir, réveille-moi et je veillerais a ta place, dit en souriant Komodag.
Le jeune Chasseur le remercia d’un signe de tête.
-On est une équipe c’est normal. Et elle aussi en fait partis mais sans le savoir, ajouta-t-il en désignant Ania.
-Tu veux bien veillé ? Je suis crevé.
-Pas de problème.
Maxkiame s’endormit presque aussitôt après avoir fermé les yeux. Komodag sortis une pipe de sa poche et l’alluma. Il regarda ensuite tour à tour Maxkiame et Ania. En les regardant une penser traversa son esprit le faisant rire.
-Pourquoi ris-tu ? l’interrogea son compagnon qui venait d’apparaitre à l’embrasure de la porte.
-Pour rien. Je me disais juste qu’ils pourraient former un beau couple.
-Mouais, c’est vraiment drôle. Arrête de divaguer et veille sur eux. Sur ce Bleck partit et retourna dans la tour emportant un jambon prit dans la cuisine.
Plusieurs heures passèrent durant les qu’elle Komodag alla manger un morceau dans la cuisine. Il réveilla Maxkiame. Ania commençait à se réveiller. Les deux amis essayaient de la maintenir sur le divan. D’un coup elle ouvrit les yeux et se redressa. Elle était paniquée. Elle respira de grande bouffé d’air puis se tourna vers les Deux compagnons
-Où suis-je et qui êtes-vous ? demanda-t-elle terrorisé par ces inconnus.
-Calmez-vous et dites-moi de quoi vous souvenez vous en dernier ? lui demanda Maxkiame.
Elle le regarda d’un air méfiant pendant un moment, réfléchit puis obéis..
-Je me souviens d’une chose horrible rodant dans ma maison. Une chose faite de ténèbres et une panthère accompagnée d’un homme avec une capuche combattant la chose. Puis plus rien à part un flash lumineux.
-Je vais vous expliquer et vous raconter ce qui c’est passé. Je suis entré chez-vous pour combattre cet esprit. J’ai réussie à le terrasser mais malheureusement votre famille est morte. Je vous ai retrouvé inconsciente plus tard. J'ai été obligé de bruler votre maison ainsi que votre famille. J’en suis désolé
Ania fut choquée par ces révélations. La tristesse s’empara d’elle mais elle ne pleura pas voulant rester digne devant ces étrangers. Elle demanda ce qui l’avait conduit ici. Maxkiame commença à lui raconter le voyage tout en répondant aux questions qu’elle posait et en éclaircissant quelques points lorsqu’elle le demandait.
Après que Maxkiame eu commencé le récit Komodag s’éclipsa discrètement. Il se balada dans la maison avant de sortir. Lorsqu’il sortit, la lumière lui fit cligner des yeux. Le soleil brillait intensément à cette altitude et il était à la moitié de sa descente. Komodag respira à plein poumon l’air pur de la montagne puis se dirigea vers la tour. Il s’arrêta devant l’entré, hésita à frapper, attendit un peu puis entra. La porte s’ouvrit sur un escalier qu’il grimpa. A la moitié de la tour l’escalier atteignait un palier, avant de continuer à monter vers l’observatoire. Une porte se dressait à sa gauche. Il frappa, attendit, puis ouvrit. Komodag pénétra dans la bibliothèque. Mackol et Fleetrok étaient assis dans des fauteuils, Mackol expliquait quelques notions arcaniques à Fleetrok. Il s’interrompit en entendant Komodag entrer, celui-ci lui fit signe de continuer. Lorsqu’il eu finit Mackol se tourna Komodag :
-Que nous veut l’honneur de votre visite ? demanda-t-il.
-Ania c’est réveillé. Maxkiame s’occupe d’elle et répond à ses questions, expliqua Komodag
-Intéressant. Elle a récupérez plus vite que je l’aurais cru, elle possède réellement le don, qui plus ait il à l’air assez fort en elle. J’aurais peut-être l’honneur de former une nouvelle élève, qui sait ?
-Peut-être bien. Ce serait une bonne chose. Les esprits augmente et devienne de plus en plus violent.
-Il n’y a pas que l’esprit, marmonna Mackol. Il y a aussi les radicaux ces humains pactisant avec les esprits. Laissons ses sombres pensé de coté et allons voir comment elle se porte.
Mackol se leva, suivit des mercenaires. Ils sortirent de la tour et entrèrent dans la maison en même temps due le soleil se couchait. Lorsqu’ils arrivèrent Maxkiame parlait avec Ania.
Mackol fit signe a Maxkiame de venir le rejoindre dans la cuisine. Maxkiame se leva et rejoignis son maitre laissant Ania au soin de Bleck.
-Maxkiame tu sais pourquoi tu es la ?demanda Mackol en s’asseyant.
-Oui
-Bien alors prends tes affaires et ton équipement ta dernière épreuve commence. Un bâton identique à l’ancien t’attend avec ton équipement.
Maxkiame sortis de la cuisine, alla prendre son sac, son bâton et sortis dans la nuit. Komodag qui avait assisté à la scène en silence se dirigea vers Mackol.
-Pourquoi l’avez-vous envoyez dehors à cette heure ? Vous êtes malade au quoi ?
-Mesurez vos paroles Maitre Répurgateur, je sais des choses sur vous que vous aimeriez oubliez.
Komodag baissa les yeux honteux puis les releva, une flamme brulant dans son regard.
-C’était il y a longtemps et je regretterais toujours mes actions passées. Je sais que je ne pourrais jamais me racheter complètement mais j’essaye.
Il sortit laissant Mackol seul. Avant que Maxkiame sorte Ania l’avait attrapé par le bras.
-Où tu vas ?
-Je pars, c’est mon devoir.
-Tu pars ? Maintenant alors qu’il fait nuits ? On vient à peine de faire connaissance et tu te barre déjà ?
Maxkiame plongea ses yeux dans ceux d’Ania. Elle possédait de magnifiques yeux d’un bleu profond qui semblaient vous scruter l'âme quand elle posait son regard sur vous. Il la regarda et lui sourit. Elle avait l’air anxieuse et soucieuse.
-C’est ma dernière épreuve en tant qu’apprentis. Je reviendrais vite ne t’inquiète pas.
Il n’attendit pas de réponse et sans alla dans la nuit en compagnie de Loarc.


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MessageSujet: Re: Les Chroniques d'Uromkar [création perso]   Les Chroniques d'Uromkar [création perso] EmptyJeu 15 Jan - 0:34

"Jamais en retard, toujours à l'heure prévue", j'apelle ca du plagiat, moi (mais gentiment, hein ^^)
Au fait, tu est sur que tu ne veux pas que je passe une heure à corriger toutes tes fautes, un de ces jours?
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MessageSujet: Re: Les Chroniques d'Uromkar [création perso]   Les Chroniques d'Uromkar [création perso] EmptyDim 25 Jan - 1:09

Qu'il est médisant cet Arnor, toujours à casser ses pauvres camarades de rp Surprised
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MessageSujet: Re: Les Chroniques d'Uromkar [création perso]   Les Chroniques d'Uromkar [création perso] EmptyDim 25 Jan - 2:01

Moui, mais il y a des moments ou c'est un peu justifié, hein ^^
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MessageSujet: Re: Les Chroniques d'Uromkar [création perso]   Les Chroniques d'Uromkar [création perso] EmptyJeu 5 Mar - 21:44

Chapitre V

Maxkiame marcha pendant deux jours et une nuit. A la fin du deuxième jour il atteignit le cercle de pierre. Le soleil se couchait et la lune se levait, elle était pleine ce soir là. Il alluma un feu et s’assit en tailleur le regard plonger dans les flammes. Loarc s’allongea a ses coté. Il s’attendait à être attaquer par les ombres et les goules mais bizarrement elles n’attaquèrent pas. Après un repas frugal Maxkiame s’endormit.
Maxkiame ouvrit les yeux et se retrouva dans un univers de lumière blanche. Partout ou il regardait s’étendait un horizon plat et infinis ou l’on ne distinguait ni le ciel ni le sol. Tous étaient blancs. Il marchait vers ce qu’il pensait être l’Est. Au bout d’une demi-heure il s’arrêta. Il pensait avoir marché sur environs une demi lieue. Les distance était dure a estimé dans cet univers immaculé. Alors qu’il s’asseyait pour se reposer une vive lumière l’éblouis. La lumière provenait du ciel. Il leva la tête, tout en se protégeant les yeux avec la main, vers la source de cette lumière. La lumière diminua et il pue enfin observer sa source.
L’origine de la lumière était un immense guerrier en armure d’or. Son armure était gravée de bas-relief et de nombreux détail relatant des batailles épiques ayant eu lieu à une lointaine époque. Sur ces bas-reliefs on pouvait voir des guerriers équipé comme celui portant l’armure repoussant des hordes de démons venue d’une faille débouchant sur les enfers. Dans son dos deux braseros, accrochés à son armure, répandait une lumière vive. Maxkiame pensait que la source véritable de la lumière était ces braseros et qu’ils donnaient au guerrier une aura de lumière. Mais il se rendit vite compte que c’était la lumière provenait réellement du guerrier et que celui-ci possédait réellement cette aura divine. Les épaulières de l’armure était illuminé de l’intérieur. Sur une on voyait la forme d’un livre et sur l’autre la forme d’une épée. Le visage du guerrier était lisse et parfait comme celui d’un dieu. Ses yeux brulait d’un feu intérieur et n’était que lumière.
Il s’approcha de Maxkiame et lui parla d’une voix douce et claire.
« Les esprit-démons reviennent et tu dois t’opposer à eux. Tu ne peux les vaincre seul. Tu dois t’entourer d’homme de confiance cependant les esprits ont des adorateurs, les radicaux, ils ont abandonnés leur âme au profit de pouvoir diabolique. Tu te dois de repousser une fois de plus les démons de ce pays comme L’Ordre la fait il y a de cela plusieurs millier d’années. Si tu y arrive tu pourras délivrer ton pays de sa malédiction. L’Ordre aurait aimé t’aider mais il a malheureusement était exterminé pas les nécromants. Tu dois nous venger tout en délivrant le pays. Mais prends garde les nécromants ont des agents partout. Pire que tout certains des notre ont succombé a l’appel de l’esprit se prénommant RONWE. Maintenant va accomplir ta destiné. »
L’apparition tendit la main et toucha le front de Maxkiame. Une image apparut a son esprit, celle d’une construction raffiné composé d’une grande tour surmontés d’un cristal géant. Le guerrier s’illumina puis disparut laissant Maxkiame seul.


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Crioo

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MessageSujet: Re: Les Chroniques d'Uromkar [création perso]   Les Chroniques d'Uromkar [création perso] EmptyMer 18 Mar - 1:54

Fleetrok s'moi Wink the pgm en personne Suspect
sinon perso je trouve super bien ton roman max Smile j'ai un exemplaire d'façon Very Happy j'vais l'faire publier et je deviendrais RICHEEEEEEEEEEEEE queen
ah ok j'chui fou T-T Arrow [ -] affraid
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Maxkime Liberty

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MessageSujet: Re: Les Chroniques d'Uromkar [création perso]   Les Chroniques d'Uromkar [création perso] EmptySam 12 Sep - 16:54

Voila une suite =) le reste viendra plus tard


Loarc secouait son maître du bout de son museau car il l’avait entendu gémir. Maxkiame ouvrit les yeux, se leva et s’étira. Il regarde ensuite autour de lui. En voyant les montagnes et le cercle de pierre il fronça les sourcils jusqu'à se souvenir d’où il était. Il se leva, ramassa ses affaires, éteignis les dernière braise du feu et s’en alla.
Maxkiame marcha durant plusieurs heures dans les désolations rocailleuses des montagnes. Perdus dans ses pensés il ne remarqua pas qu’il quittait le sentier. Il marcha ainsi un bon moment, jusqu'à ce que le soleil soit a son zénith. A ce moment là il s’arrêta pour manger. Loarc attendis que son maître se pose pour aller chasser. Une fois son paquetage à terre Maxkiame se détendit un peu. Il jeta un coup d’œil autour de lui à la recherche de branchage pour un faire un feu. Il lâcha un soupir dans lequel se ressentait toute la lassitude qu’il éprouvait, puis il reporta son regard son une forme se démarquant de la caillasse. Il ouvrit de grands yeux d’étonnement en comprenant ce que c’était. Il savait qu’il l’avait déjà vue. Mais où, il ne savait plus. Il s’agissait des ruines d’une tour et autour on pouvait apercevoir les ruines de nombreux autres bâtiments. Curieux il s’approcha pour mieux comprendre l’architecture de la tour. Puis il se rappela que le guerrier d’or le lui avait montré. Il comprit que cette bâtisse était importante.
De loin elle semblait sortir tout droit du sol mais avec des courbes élégantes et pleines de grâce. En se rapprochant on remarquait que la tour faisait partis d’un ensemble plus vaste. Elle se situait au centre d’un ensemble de deux terrasses et de quatre tours. Des quatre tours deux était une reproduction plus petite de la grande. Elle se situait à l’arrière de la construction. Deux autre tours encadrait un immense portail. Un battant de la porte était renversé et étalée par terre tandis que l’autre était entrouvert. Les décombres provenant d’une des tours encadrant la porte bouchait en partis le passage. Les tours arrière étaient assez bien préserver. Le haut de la tour principale était tombé dans la cour d’entrée. Le cristal qui se trouvait jadis perché au sommet de cette tour était dorénavant planté au centre de la cour. Il s’y élevait tel un roc et emplissait une partie de la cours. Derrière les ruines de la citadelle se dressait un petit village. Les rares maisons encore debout présentait le même style que la citadelle. Des courbes fines et élégantes et des murs gravés de bas-reliefs quasiment effacé par le temps. Maxkiame s’avança vers l’entrée de la citadelle.
En entendant un grognement derrière lui, il se crispa et serra son bâton si fort que ses jointures blanchirent. Il se retourna et se trouva face à une bête énorme. Le monstre ressemblait à un gros loup. Il avait un pelage poivre et sel. Ses babines retroussées laissaient voir deux énormes crocs. La bête s’approcha de Maxkiame à petit pas en rampant presque et bondit sur lui.
Mais une forme noire l’intercepta en vol. La bête roula au sol et regarda autour d’elle à la recherche de ce qui l’avait percuté. Maxkiame reculait prudemment sans tourner le dos au monstre tandis que Loarc repassait à l’attaque. Maxkiame profitas du fait que le monstre soit occupé pour partir en direction des ruines de la citadelle. Il passa sous l’arche d’entrée et déboucha dans la cours face au cristal. Le cristal faisait bien 2 fois sa taille et était aussi gros qu’une caravane de marchand. Il le contourna et entra dans la citadelle.
Il traversa un long couloir d’un blanc immaculé dont les murs était garni de tableau symbolisant des scènes de guerre ou de la vie courante des anciens habitants. Il s’y trouvait aussi des portraits d’ancien roi depuis longtemps oublié. Ce couloir donnait sur une grande salle circulaire. La voute du plafond était décoré d’une mosaïque représentant des guerriers d’or apportant la lumière de la connaissance a un peuple vivant dans les ténèbres. Face au couloir un immense trône d’or et de cristal se dressait et à sa gauche un gigantesque escalier de cristal s’élevait dans la tour en grimpant le long du mur.
Il grimpa les marches quatre à quatre. L’escalier le menait en haut de la grande tour de la citadelle. Lorsqu’il atteignit le sommet, il déboucha dans une grande pièce circulaire au centre de la pièce se tenait un piédestal sur lequel se tenait une épée. La lumière de la lune tombait en cascade dessus. En levant la tête Maxkiame vit le ciel étoilé d’une nuit sans nuage. Le cristal gisant dans la cours avait autrefois coiffé cette salle. Maxkiame s’approcha de l’épée pour mieux l’examiner. La lame de l’épée était fine et se terminait en forme de larme. La lame était d’un bleu violacé irisé. Des reflets argentés couraient dessus. Elle avait pour garde un aigle d’or aux ailes déployées. Un tissu de velours rouge sombre recouvrait une poignée de taille moyenne. Elle était faite pour accueillir une main mais été assez grande pour pouvoir y recevoir les deux mains du porteur si cela était nécessaire.
Maxkiame retira l’épée de son socle et la brandit devant lui, bras tendu. Il admira la perfection de la lame et sa couleur violette. La lune jouait avec les reflets argentés de la lame.
Il sortit un tissu de son sac et l’y enveloppa. IL jeta un rapide coup d’œil dans la salle mais ne trouva rien qui l’intéressait. Il redescendit l’escalier plus lentement qu’il ne l’avait monté. Il descendit l’escalier et déboucha sur un grand pallié où se trouvaient trois portes. Il ne l’avait pas vue en montant. Il se dirigea vers celle de gauche. La première donnait sur une chambre avec un lit à baldaquin. De cette chambre une terrasse offrait une vue sur toute l’ancienne cité. Maxkiame remarqua qu’il y avait de nombreuse autre ruine en plus de celle qu’il avait vue en arrivant. Les ruines de la ville s’étendait jusqu’à perte de vue. Il avait dut s’agir d’une importante cité. Il retourna sur le pallier pour tenter d’ouvrir les deux dernières portes. La deuxième était une porte de bois massif bien épaisse. Elle était fermée par une épaisse serrure de fer. La troisième et dernière était une simple planche de bois mais un sortilège en empêchait l’ouverture.
Maxkiame décidât de ne pas s’attarder et sortis de la citadelle. Dans la cours il trouva Loarc allongé près du cristal. A l’approche de son maitre il se leva et alla à ses cotés. Ils sortirent de la cours pour retourner dans les passes rocailleuses. Maxkiame cherchât des traces du loup mais n’en trouva pas. Ou était-il passé ?
L’homme et la panthère reprirent le chemin d’Erakor. Mais une silhouette les suivait de loin, elle était tantôt debout tantôt à quatre patte.
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