Alors voici un pitit roman que j'écris quand j'ai le temps. Je voudrais avoir votre avis alors lachez-vous ^^ mais sympathiquement
Les Chroniques d’Uromkar
Partie I : L'Hiver Eternel
L’histoire que je vais vous conter est très ancienne. Elle est tirée d’un vieux grimoire poussiéreux trouvé dans la salle des chroniques du palais d’Uromkorag capital d’Uromkar. L’histoire se passe quelque temps avant que le soleil ne revienne en Uromkar. Uromkar était le pays le plus puissant du vieux continent jusqu'à ce que l’hiver éternel ne s’y abatte. Des esprits maléfiques profitèrent de l’hiver pour s’installer dans les vertes prairies d’Uromkar. Sous l’influence des esprits, les prairies qui dominaient le pays devinrent des zones désolées violement balayées par le vent et la neige. Elles forment désormais la Lande.
C’est pourquoi à cette époque des caravanes chargés de trouver des personnes possédant des résistances aux esprits sillonnaient la lande et prenaient en échange d’or les nouveaux nées et enfants élut pour protéger les hommes des esprits. Ces élut pouvait percevoir les esprits et résister à leurs pouvoirs. Les caravanes se faisaient appeler « les Caravanes Noires » en référence à leur couleur ténébreuse. Mais personne ne pouvait voir le visage des membres des Caravanes à cause des manteaux noires à capuche qu’ils portaient conférant à ces membres une sinistre réputation.
Mais revenons à l’histoire ou plutôt aux histoires car il s’agit des Chroniques d’Uromkar. Celle racontant l’épopée de deux héros, Ania et Maxkiame, qui ont chassés les esprits et délivré Uromkar de l’hiver éternel contre un grand sacrifice.
Voici leur histoire :
Prologue
C’était une nuit sans lune, les nuages cachaient toute la voute céleste, comme Uromkar en connait tant en ce moment. Lorsque les tempêtes de neiges sont de plus en plus fréquentes et violentes. Dans les ténèbres de la nuit deux ombres se dressaient sur une colline. Elles observaient une vieille ferme isolée. De la lumière filtrait des fenêtres crasseuses de la maison.
-Alors Loarc, c’est donc ici que l’esprit se taire, s’exclama une des silhouettes
-Groaaaaaarrrr ! Rugit férocement celui-ci.
-Vraiment dommage que tu ne puisses pas parler à la fin ! Bon allons-y où je vais me rendre compte que je passe mon temps à parler à une panthère qui ne comprend rien à ce que je raconte d’ailleurs
Ils s’élancèrent en direction de la bâtisse en courant dans la neige éternelle de la Lande. Ils l’avaient presque atteint quand un cri strident se fit entendre. Suivit de peu d’un cri de terreur humain :
-Aaaaaaaaaaaah !!!!!
-Oh non, plus vite Loarc ! On doit bannir l’esprit avant qu’il ne tue quelqu’un par plaisir d’apporter peur et chaos.
Ils se remirent à courir de plus belle vers l’épaisse porte de bois et tentèrent de l’ouvrir. En vain.
-J’aurais du m’en douté… elle est fermée. Loarc trouve une entrer !
La panthère des neiges longea le mur de sa démarche féline à la recherche d’une solution pour entrer dans le bâtiment. Elle aperçut rapidement une fenêtre située au-dessus d’un appentis brinquebalent. Elle sauta dessus, se mit devant la fenêtre, recula, pris son élan et bondit. Elle passa au travers de la vitre crasseuse et atterrit dans une chambre sordide.
-Mouais, pas la peine de me narguer c’est facile pour toi t’es un félin alors que moi chui juste un jeun humain.
C’est alors qu’une voie caverneuse sortant de partout à la fois se fit entendre.
-Approche Maxkiame ta bête est déjà entré alors à ton tour viens. Je t’attends.
La porte d’entré se déverrouilla d’un coup et s’ouvrit en grand sans un bruit.
-Bon il connait mon nom et sa c’est pas bon mais il m’a quand même ouvert la porte ce qui est gentil mais il reste maintenant à savoir si j’entre, réfléchie-t-il à voix haute.
Tout d’un coup un cri de femme parvint de l’intérieur, interrompant ses réflexions :
-Non laissez moi, je vous en supplie. A l’aide !
Ce rappelant que chaque secondes passées est synonyme de mort pour les victimes, il arrêta de tergiverser et s'exclama:
-Ok tu l’as cherché esprit de pacotille. J’arrive.
Sur ce Maxkiame entra en courant. Dès qu’il fut à l’intérieur la porte se referma et se verrouilla.
Des bruits de combat s’élevèrent peu à peu de la ferme qui fut soudainement illuminé d’une intense lumière blanche. Mais en un instant la lumière s’évanouis aussi rapidement qu’elle était apparut. Suivit de peu par le bruit des combats. Le silence reprenait ses droits sur la nuit lorsqu’il fut brisé par un hurlement inhumain. Tout les habitants de la Lande, humains comme animaux, qui l’entendirent frissonnèrent et se terrèrent bien au fond de leur lit.
Chapitre I
Un bruit de charrette se fit entendre dans la cours enneigée. Maxkiame ouvrit les yeux, se leva difficilement et sortie de la maison. Dans la cours se trouvait un homme debout a coté d’une charrette transportant des barriques d’un liquide noire. Loarc était allongé paresseusement dans la charrette. L’homme n’était pas à l’aise du tout. Il jetait des regards anxieux autour de lui. Lorsque qu’il vit Maxkiame il se ressaisit un peu et se tint un peu plus droit.
-Je vois que vous avez fais vite. C’est bien, comme sa on aura finis plus tôt, constata Maxkiame
-J’ai fait aussi rapidement que possible dès que j’ai vue le message accroché a votre panthère, il sortit alors un morceau de papier froissé de sa poche et le tendis au chasseur. Alors c’est quoi le boulot ?
-Gardez-le. On rassemble les corps dans la grande pièce et on brule le tout. Et oui ils sont tous mort si sa vous rassure monsieur Krocfield.
-Hm un liseur d’esprit doublé d’un chasseur, marmonna l’homme.
Maxkiame retourna dans la ferme, en ignorant les propos de Krocfield, suivit de Loarc. Krocfield jeta un regard chargé d’horreur et d’angoisse à la bâtisse puis entra à son tour.
*****
Krocfield revint dans la grande pièce. Il était encore un peu horrifié de ce qui c’était passé ici.
-Maitre chasseur, j’ai repartie le liquide comme vous l’aviez demandé.
-Bien, bien allez dont chercher la fille. Son corps se trouve dans la cuisine. Ramener le vite que nous puissions bruler le tout et retourner au village.
Une fois les consignes reçut l’homme parti d’un pas nonchalant vers la cuisine. Maxkiame jeta un regard par une fenêtre donnant sur la cours. Les chevaux tirant la charrette étaient de très belle bête à la robe d’un blanc-gris. Krocfield quand a lui était un peu petit et empâter suite a des années de bon et loyaux service a la taverne du village qu’il avait repris a son compte. Il était un excellent tavernier ayant toujours une chambre de libre et une oreille à l’écoute des rumeurs circulant dans la petite bourgade de Kramov.
Le chasseur fut tiré de ces pensés lorsque le barman l’appela depuis la cuisine.
-Maitre, maitre venez vite.
-Voyons qui a-t-il ? Je vous ai juste demandé de la déplacer, vous auriez peur d’une petite fille ?
-Mais venez j’ai l’impression qu’elle respire encore.
-Vous êtes sur ? Dans ce cas venez vite la déposer sur la table.
Krocfield arriva dans la pièce en portant la fille comme si de rien n’était. Maxkiame lui fit signe de la déposer sur la grande table. Elle y fut poser doucement et le chasseur commença son inspection du corps.
-Bon à première vue elle ne respire pas mais en faisant attention et en rapprochant la tête du corps on peut entendre un léger souffle et voir la poitrine se soulever et se rabaisser au rythme des inspirations et expirations. Donc oui elle est toujours en vie. Ce qui en soit et assez déconcertant et étonnant.
-Pourquoi donc maitre chasseur ?
-Ben seul peu de personne bénéficie de cette résistance aux sortilèges des esprits. Voyez cela comme une malédiction ou un don. Mais ce qui est étonnant c’est qu’elle semble avoir mon âge et elle n’a pas été ramassée par les Caravanes Noirs à la naissance. Pourtant d’après les livres que j’ai étudiées dans la demeure de mon maitre les Caravanes Noirs sont passé l’année de ma naissance donc pourquoi n’a-t-elle pas été sélectionnée ?
-Je n’en sais rien maitre. Mais pourquoi ne la mettrions nous pas dans la charrette pour retourner au village ?
-Oui vous avez raisons placer son corps dedans pendant que je m’occupe des derniers préparatifs.
Krocfield récupéras la fille dans ces bras et sortie de la ferme. Il avait finis de protéger la fille du froid avec des couvertures quand Loarc le suivit à l’extérieur. Il bondit dans la charrette et s’allongea aux coter de la fille. La panthère grogna lorsque le tavernier monta dans la charrette.
Pendant ce temps Maxkiame répandait de la poudre dans toutes les pièces de la maison tout en récitant des formules à voix basse.
*****
Maxkiame ressortie da le ferme quelques heures plus tard. Il avait mis le feu à la ferme au moment de sortir et le corps principal de la ferme brulait déjà de vive flamme.
-Merci de m’avoir attendus Monsieur Krocfield.
-Ba c’est naturel et je pense que vous auriez fait pareil.
-Oui vous avez raison, répondit-il, puis il ajouta a voix basse, Après tout vous êtes le seul à m’avoir fait confiance depuis mon arrivé.
Lors du voyage de retour au village, Maxkiame pus regarder la fille. Elle possédait des cheveux châtain lui arrivant aux épaules. Elle avait l’air assez grande de la même taille que lui estima t il. Son sommeil profond lui donnait un air d’ange tombé du ciel. Il fut tiré de sa contemplation lorsqu’ils arrivèrent au village.
Une fois sur la grande place, les habitants commencèrent à se rassembler autour de la charrette. Une fois tout le village réunis autour de la charrette le maire arriva. Maxkiame se tourna vers lui et dit :
-Monsieur le maire. Je me présente Maitre Chasseur d’Esprit Maxkiame. J’ai le plaisir de vous informer que l’esprit qui vous terroriser ainsi que les fermes alentour a été bannis mais au prix fort, il baissa les yeux et ajouta, Les habitants d’une ferme un peu plus au nord …
-Les Koracva, lui apprit Krocfield.
Maxkiame le remercia d’un signe de tête :
-Donc je disais malheureusement les Koracva sont tous mort excepté leur fille. Elle a miraculeusement survécue mais elle semble dans un coma profond.
Le maire garde le silence quelque instant le temps de réfléchir aux nouvelles fraichement apprissent.
-Maitre nous somme désoler de l’accueil que nous vous avons fait mais les mauvaises rumeurs concernant les Chasseur nous ont poussées à être méfiant. Si vous le souhaitez notre médecin peut s’occupé de la petite Ania. Combien va nous couter votre intervention ?
-Je ne vous ferez rien payer avoir bannis un esprit et sauvé des vies me suffit amplement. Mais si vous pouviez me donner cette charrette et son attelage.
-Mais pourquoi le voulez-vous?
-Pour transporter Ania, si elle s’appelle comme sa, jusqu'à la demeure de mon maitre. Il est la seul personne que je connaisse capable de la soigner et de me refaire un bâton par la même occasion.
-D’accord, Krocfield pourra sans doute vous les prêter, il se tourna vers le tavernier et celui-ci approuvât. Bien en l’honneur de votre victoire contre cet esprit le village organise une fête ce soir.
-Je ne vous en demandais pas temps, mais j’accepte volontiers. Merci. En attendant je serais dans ma chambre de la taverne à m’occuper d’elle.
Les badauds se dispersèrent petit à petit pour retourner à leur occupation ou pour préparer la fête. Maxkiame alla quand a lui dans sa chambre. Il fit trois pas, se doutant qu’il oubliait quelque chose il s’immobilisa, et se rappelant d’Ania retourna vers la charrette. Il alla a l’arrière, monta dedans, et pris Ania dans ces bras. En sautant de la charrette vers le sol il faillit perdre l’équilibre et tomber par terre. Heureusement le tavernier le rattrapa juste à temps.
-Merci
-Ba c’est normal. Vous voulez pas que je la porte plus tôt ?
- Euh si tenez prenez-la. Vous êtes un homme bon Krocfield.
-Oh ba vous savez on essaye tous de rendre ce monde meilleur en aidant notre prochain.
-Les dieux vous seront très reconnaissants de cette initiative.
Le tavernier prit Ania des bras de Maxkiame et se dirigea vers la taverne. Au lieu de rentrer par l’entré principale il prit un petit escalier qui montait vers des chambres situer à l’ écart du bruit de la grande salle. Maxkiame retourna près de la charrette et chercha Loarc des yeux. Lorsqu’il le vit couché sous les couvertures, il le secoua doucement pour le réveiller et lui fit signe de descendre. Loarc bondit hors de la charrette et suivit le chasseur jusqu'à leur chambre. Où ils montèrent pour se reposer. Ania occupant le lit Maxkiame choisit de dormir dans une sorte de sofa se trouvant dans la grande pièce de la chambre. Loarc s’endormit à ses pieds et se mit à ronronner. Maxkiame s’endormir tellement vite qu’il n’entendit même pas Loarc se mettre à ronronner a ses pieds.