L'antre du RP
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

L'antre du RP

Forum ou tout ce qui est RP est le bienvenu, à part si c'est l'anarchie ou si ca sort de l'espace prévu pour le theme....
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le coffret Collection Alakazam-ex ?
Voir le deal

 

 Des zomzoms, des zomzoms, encore des zomzoms 2 (RP)

Aller en bas 
4 participants
AuteurMessage
urhtred
Admin
urhtred


Messages : 131
Date d'inscription : 09/10/2008
Age : 31
Localisation : pas-de-calais ; 62

Des zomzoms, des zomzoms, encore des zomzoms 2 (RP) Empty
MessageSujet: Re: Des zomzoms, des zomzoms, encore des zomzoms 2 (RP)   Des zomzoms, des zomzoms, encore des zomzoms 2 (RP) EmptyVen 11 Sep - 23:43

Aujourd’hui était un grand jour. Mon art allait prendre un nouvel essor.
Aujourd’hui, je vais rentrer chez le CE.
Je sors de chez-moi, avec mon équipement au complet, arbalète sur le dos, bardas en bandoulière et armes blanches ceintes à la taille. Je salue josé, déjà au boulot dans le champ d’à côté, occupé à bêcher. Sa graisse avait fondue de manière impressionnante, et il n’affichait désormais qu’un muscle du houblon raisonnable.
J’allais recevoir le reste de l’équipement réglementaire du CE, et faire partie des missions si vitales au maintien d’une société réellement viable sur l’île de béninguet.
Le QG du CE était en haut de la colline qui surplombait l’île,
Je m’y dirigeais.
Arrivé en haut, je me retournai, portant mon regard placide sur ce qui se trouvait en contrebas.
Au loin je pouvais deviner la palissade, faite de bric et de broc, hérissée de pointes, d’où émergeait quelques tours de guet.
Quelques groupements de maisons s’éparpillaient au milieu des quelques champs et élevages qui assuraient la survie alimentaire de l’île.
Quelques forêts s’étalaient là où on n’ avait pas eu le temps ou la population vive d’exploiter la terre.
Puis venait l’extérieur de la ville, le quartier de la « famille des tanneurs », un groupe de bons vivants qui appréciait auparavant la pratique de la tannerie traditionnelle. Ils étaient postés là à cause des odeurs que cette pratique imposait. Maintenant ils étaient chargés de préparer le cuir dont on avait besoin pour de multiples raisons.
Et puis, aussi, le quartier des artisans, déjà fumant des vapeurs des ateliers.
Un peu plus haut l’aire réservée à l’enseignement, une série de bâtiments plats entourés par les zones d’éducation martiale, comme on appelait désormais l’éducation physique clairement orientée sur les différentes manières de tuer sans s’exposer soi même à une contamination sanguine.
Des cibles marquaient l’emplacement de ma si chère zone de tir à l’arme blanche, et un bâtiment s’élever pour contenir les salles de coure théorique.
Une volée d’habitations me séparait du lycée, toutes en bois, solidement construites.
Derrière moi, je savais que se trouvait la place centrale, où les grandes décisions, fréquentes en ces temps de tout début de colonisation et de mise en place de l’organisation qui régissait nos survies ici.
Et puis encore derrière l’hôpital, lieu si estimé des sciences de la médecine, si utile pour conserver la population dans une forme plus qu’acceptable sans qu’une infirmité trop importante ne puisse se développer si on peut régler le problème en amont, en plus de soigner dans des conditions d’hygiène exemplaire vu notre situation pour éviter les infections.
je savais que se trouvait sur l’autre face de la colline ce que l’on appelait l’amphithéâtre, un creux naturel dans la roche où on avait creusé ou installé des bancs, pour régler les problèmes d’ordre mineur et les petits litiges, heureusement rares étant donné que la population était bien consciente de notre situation plus que précaire.
Et tout le reste des implantations importantes, d’ailleurs se trouvaient sur l’autre versant, puisque c’était par là qu’était le port, et la direction du continent. Par un étrange mouvement de nostalgie tout ce qui avait été construit en premier se trouvait sur la partie sud-est de l’île, en direction des terres.
Mais l’heure n’était pas pour moi de m’appesantir sur notre passé comme sur notre futur.
Je tournai les talons, contournai le bâtiment des CE avec un dernier regard pour les côtes déchiquetées de l’île, et entrai.
Je fus accueilli par un homme austère, d’une vingtaine d’année tout au plus, même si les rides qui barraient déjà son front et son regard indiquaient qu’il était bien plus marqué par la vie qu’il n’aurait dû l’être. Il n’avait pas l’air très causant.
Pas un mal.
Lorsque je me présentai devant lui, ses paroles furent laconiques.
-François ?
-Oui.
-Suis-moi.
Il me mena dans une autre salle, plus grande, où étaient entreposés une petite dizaine d’armes à feu hétéroclites. Les armes que les forces des CE ne gardaient pas avec eux lors de leurs retours en « terre civilisée ». Cette évolution du port des armes avait été mise en place il y a peu à cause de la tension ambiante que cela provoquait chez les autres habitants. Déjà qu’ils ne jouissaient pas de base d’une très bonne réputation…
Une foi entré dans la salle je vis que j’étais attendu par 3 autres personnes, du même acabit que le premier.
Ce serait mon équipe, les camarades que j’allais devoir soigner au cours de ces missions.
Au centre de ces 3 personnes, se trouvait celui que j’identifiai immédiatement comme le chef de groupe. Il était un peu plus petit que moi, également un peu plus carré, et sa barbe (très) grossièrement taillée jurait un peu avec ses traits. Ses lunettes lui donnaient un certain air de « l’ermite qui garde son immense bibliothèque depuis des siècles, toujours tout seul » qui apparaissait si souvent dans les parties de jeu de rôle médiéval-fantastique.
Mais en version bien plus jeune, et encore si on ne considérait pas le reste du corps, bardé d’armes diverses et vêtu d’une manière militaire.
Il prit la parole.
« Salut, le bleu, maintenant tu est des nôtres. Fais gaffe à tes miches, on y va. Je te raconterai notre mode de fonctionnement en route, prends les chargeurs pour ton arme et ce que tu as besoin, on décampe dans 15 minutes ».
Alors on était parti.
J’allai rapidement prendre 4 chargeurs pour mon beretta, passai en coup de vent compléter ma trousse de soin à la pharmacie pour les produits les plus périssables ou ceux nécessitant d’être emballé en sachets stériles.
J’avais ma trousse, mon matos de survie, mon beretta, et le poids rassurant de l’arbalète en travers
De mon dos, accompagné de celui de la cinquantaine de flèches de mon carquois.
Revenir en haut Aller en bas
http://lacitadellenoire.blogspot.com/
Arnor
Admin
Arnor


Messages : 281
Date d'inscription : 29/09/2008
Age : 32
Localisation : Caen

Des zomzoms, des zomzoms, encore des zomzoms 2 (RP) Empty
MessageSujet: Re: Des zomzoms, des zomzoms, encore des zomzoms 2 (RP)   Des zomzoms, des zomzoms, encore des zomzoms 2 (RP) EmptyMar 15 Sep - 0:27

Le couloir qui mène au "QG" est en fait constitué de murs de taule et d'un toit de bois, pas vraiment étanche, ni au niveau de la chaleur, ni au niveau de la pluie, ni au niveau des zombies.
Cependant, la porte qui protège le bunker est faite de renforts en acier bien plus rassurants, même si c'est toujours une plaie de pousser les battants pour rentrer dans la maison de pierre qui abrite notre radio et l'équipe qui coordonne nos actions, à savoir une espèce de geek toujours penchée sur l'émetteur pour rester en liaison avec les équipes sur le continent, et qui fournit une bonne partie du bordel ambiant, et le chef d'expédition, le responsable du C-E.
C'était un major de l'armée avant le jour Z, aux cheveux grisonnants malgré ses trente ans juste passés, et qui serait avec nous sur le continent si un berserk ne lui avait pas arraché un bras quand on a pris l'ile. Il participait désormais à nos expéditions du centre de commande, coordonnant nos effort en cas de danger en faisant se regrouper les équipes ou pour en sortir une d'un coin ou elle s'est fourrée.
- Chef, on a pris ce qui nous fallait pour repartir et on a remplacé l'autre crétin qui s'était fait mordre il y a 8 jours, c'est quoi les priorités cette semaine?
- Chef? Répétais-je.
- Ouais, maugréa-t-il, j'ai eu une commande express de max, de l'hôpital, il lui faut des instruments chirurgicaux et différents produits. Il a noté tout ça sur un papier, j'ai ça quelque part, dit-il en se retournant pour fourrager dans les cartes côtières qui peuplaient anarchiquement son bureau. "Ah, voila".
- C'est tout?
- Non, il faut aussi un sac de vermifuge pour les moutons, commande de Gérard, mais si tu ne peux pas, ne tente pas l'impossible, j'ai une autre équipe qui pourra repartir bientôt.
- Pas de problèmes. Par contre, je suis passé à l'armurerie, et on a dû se limiter à cause de Bérangere qui dit qu'on commence à être un peu légers niveau munitions de 9mm.
- Et si vous pouviez soumettre au vote des autres pairs le fait de donner autre chose qu'un pistolet aux nouvelles recrues comme équipement, on peut vous ramener des armes, si on trouve, m'interrompit Craft, ça limiterait surement les pertes. On en a encore perdu un et j'espère que celui la sera plus doué. L'autre s'est fait mordre en allant pisser, c'était très....drôle.
- Ce sera moins drôle quand je vous botterais le cul, Craft! Vociféra-t-il, puis il désigna le nouveau.
"François, ici présent, part en mission avec vous, si il ne revient pas dans un seul morceau..."
- Et si il revient en un seul morceau dans un sac plastique?
Je poussais Craft vers la sortie alors que Timo retenait le major pour l'empêcher de l'étrangler avec un seul bras, et pris la "liste des courses" sur la table au passage avant d'y noter de lui ramener des cigares et un bon calva, il serait peut-être de meilleur humeur en nous voyant revenir avec.
Le nouveau avait l'air étrangement inquiet en partant vers "les docks", un assemblage de bois et de métal qui permettait de charger et décharger notre unique petit voilier sans qu'il s'écrase sur les rochers.
La campagne était encore verte en cette fin d'été, mais on voyait déjà apparaitre des nuances d'orange dans les feuilles, alors que nous descendions le sentier d'abord bordé d'arbres puis de rocaille pour atteindre les docks.
Le volume de ce bateau limitait nos expéditions à une dizaines de personnes à la fois, sans compter qu'il ne pouvait pas transporter du matériel lourd comme des véhicules ou trop d'électroménager, comme des machines à laver.
Embarquer était aussi un problème quand la mer était forte comme aujourd'hui. En plus, j'avais le mal de mer.
- Et merde....fis-je en posant le pied sur le pont instable et mouvant du bateau. Je faisait confiance aux marins pour nous amener à "bon port" si il était possible de le dire ainsi, mais pas à mon estomac entre les deux....


Dernière édition par Arnor le Dim 8 Nov - 23:04, édité 6 fois
Revenir en haut Aller en bas
https://lantredesrp.forumactif.org
Maxkime Liberty

Maxkime Liberty


Messages : 185
Date d'inscription : 04/10/2008
Age : 30
Localisation : Quelque part a des années lumières d'ici

Des zomzoms, des zomzoms, encore des zomzoms 2 (RP) Empty
MessageSujet: Re: Des zomzoms, des zomzoms, encore des zomzoms 2 (RP)   Des zomzoms, des zomzoms, encore des zomzoms 2 (RP) EmptySam 19 Sep - 16:50

« Le quai. Enfin. Le voilier était en bout de quai. Sa grand voile hissée, foc roulé. Il était prêt à appareiller. L'espoir d'échapper à l'enfer me fit arrêter ma course. Je levai la tête et regardai la pleine lune. Une nuit magnifique qui allait virer au cauchemar. Le silence fut déchiré par les hurlements de la horde. Les quelques marins nous firent signe de nous magner. Jules fut le premier à monter à bord et moi qui pensais qu'il détestait la mer. Alex me mit un taquet derrière la tête.
-Magne-toi. Tu veux crever ici ?
Malgré sa bonne volonté la horde nous encerclât. Je vis des compagnons de quelques jours se faire étriper.
Une fille s'appelant Yolene se fit ouvrir la carotide d'un coup de dents. Le sang gicla avec force et elle s’effondra dans un ultime gargouillis. Un zombie me chargea. Je dégainais mon MAS de la main droite et lui logeais une balle dans le crâne. Gros coup de chance. Alex et moi courûmes vers la zone des quais remplit de conteneur. Le gros de la horde se concentrait sur le groupe tentant d'embarquer mais quelques contaminés nous pistaient. Au détour d'un conteneur je vis Romane adossée à un conteneur le bras en sang, un zombie étalé devant elle. Elle leva la tête vers nous les yeux remplient de larmes.
-Ils m'ont eu. Me laissez pas devenir comme sa, nous dit-elle en pleurant.
Je regardais Alex. Il se retourna pour surveiller les autres passages. Je m'approchais de Romane mon arme à la main et me mis à sa hauteur.
-Désolé, lui dis-je mon arme contre sa tempe mes yeux dans les siens.
-Merci, me répondit-elle esquissant un sourire.
Je me relevais et lui logeais une balle dans la tête à bout portant. »

-Max, Max ! Oh t'fais chier.
Une douleur dans mon flanc droit me tira de mon sommeil. J'ouvris les yeux et vis Alex debout un bout de bois à la main.
- Lève-toi, on bouge.
-Encore ce putain de souvenir, grommelais-je avant d’ajouté. Réveil moi doucement la prochaine fois.
-C'est ce que je viens de faire, répondit-il.
Je réprimais un "'foirer" et demandais :
-On bouge comment ? Changement de planque ou de bled ?
-On change de bled.
Je me levais ramassais mon masque à gaz/oreiller, le mettais, ajoutais ma capuche sur ma tête et sortis à la suite d'Alex. Nous avions élu domicile dans une maison à un étage qui semblait être assez récente. Alex sortit en premier pour sécuriser les abords. Je récupérai le sac en bandoulière contenant nos vivres et le suivis. La rue était déserte pour le moment. Nous marchâmes vers la sortie de la ville. Elle n’était pas très loin de notre planque. Grande chance pour nous, nous réussîmes à éviter les zombies. Arrivé à la sortie de la ville je me dirigeais vers la pancarte indiquant son nom. Je sortis une bombe de peinture et regardai mon précédant tag : « Zombie : assez nombreux. Humain : 2 » et transformais le 2 en 0.
Alex sortis une carte de la région et l’étala par terre.
-On est là, dit-il en montrant un petit village sur la carte. On a déjà vidé cette ville et ce village. On peut aller soit là soit ici, rajouta-t-il en montrant une ville moyenne et un gros village. On va où ?
Je regardais la carte et réfléchis.
-On tente la ville ? Elle est en bord de mer et à l’air pleine de zone de bouffe. On pourra y trouver ressources et zombies. T’en pense quoi ?
-J’aurais préférer commencer par la petite mais elle est plus proche. On y va, répondit-il en rangeant la carte et se mettant en route.
-Si tu traines je te laisse te faire bouffer, ajouta-t-il pour signifier qu’une marche rapide nous attendait.

ne confonds pas imparfait et passé simple et ce sera parfait.
Urhtred


Dernière édition par Maxkime215 le Sam 20 Fév - 21:47, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
archangel-of-pain

archangel-of-pain


Messages : 80
Date d'inscription : 06/02/2009
Age : 29
Localisation : Savigny sur orge

Des zomzoms, des zomzoms, encore des zomzoms 2 (RP) Empty
MessageSujet: Re: Des zomzoms, des zomzoms, encore des zomzoms 2 (RP)   Des zomzoms, des zomzoms, encore des zomzoms 2 (RP) EmptyMer 17 Fév - 16:46

« Allez plus vite que ça !!! »
Le sport est une matière importante qui prend presque la moitié de l’emploi du temps de la semaine. Pendant cette période on fait du basket, ça améliore la vitesse, l’endurance, l’agilité et la précision, enfin c’est ce que dit le prof.
« L’équipe 2 mène de 7 points sur l’équipe 1 et il reste 37 secondes à jouer, il se tourne vers moi, assis sur le banc, Quentin tu rentres. Balle à l’équipe 1 !! »
J’hoche la tête, met mon dossard et rentre sur le terrain.
On me fait la passe, je dribble, hop un cross, le joueur adverse part dans le vent, shoot libre à 3 point ça rentre.
« Il reste 28 secondes à jouer 81-77 pour l’équipe 2 »
Le joueur adverse à la balle, il passe, feinte de shoot, la balle lui glisse des mains et il la perd, je récupère, cours vers le panier et dépose la balle dans le cercle.
« Plus que 15 secondes !! »
Les joueurs adverses remontent la balle, un de nos joueurs se place mal et un adversaire et alors tout seul « Merde » . Il attrape la passe, se retourne et arme son tir. Au moment où il tire je le bloque et récupère la balle
« Plus que 7 secondes !!!!! »
Vite je parcours le terrain « 6! » dribble mon aversaire « 5! » le distance « 4! » m’arrête à la ligne des 3 points et arme mon shoot « 3! » la balle part en l’air « 2! » redescend « 1! » et switch .
« Fin du match l’équipe 1 l’emporte 82-81 »

Je sortis du vestiaire, un grondement sourd retentit dans l’enceinte. De gros nuages noirs se profilaient à l’horizon puis une voix grinçante se fit entendre, les haut-parleurs vibrèrent sous l’effet de la voix : «  Tout le monde dans la salle de sécurité, tempête en approche !! ». Les tempêtes du Nord n’était pas particulièrement violente mais les fortes pluies et les hautes vagues qu’elle entraîne étaient désastreuses sur les bâtiments de fortune de la cité. Peu à peu, tout le monde entraient dans la pièce, la pluie battante ne mît guère de temps à se faire entendre. Je posai mon sac au sol, relevai ma capuche et enlevai mes deux étuis à couteaux. Je m’assis sur mon sac et sortis mon MP4. Depuis un moment déjà je me sentais épié, en regardant de droite à gauche rapidement, je vis la source de cette embarrassante situation : une jeune fille d’à peu près mon âge.

5 minutes passèrent alors que je l’observais, elle avait l’air sévère et sur d’elle mais quelque chose la tracassait, l’embêtait,. Elle s’approcha de moi et rompit le silence :
- Où est Maxime ?
La question me surpris et me pris au dépourvu, mais rapidement je repris mes moyens
- Quel Maxime ? Répondis-je avec dédain.
- Maxime Hory, me dit-elle, sa voix enrouée par les larmes qui lui montaient dans la gorge bien qu’elle essaya de rester de marbre. Je frissonnai, en entendant ce nom, le nom d’une personne qui m’était cher et qui aujourd’hui était quelque part, sur le continent. Je baissai la tête, refoulant mes larmes avec effort. Je pinçai mes lèvres jusqu’au sang et je relevai ma tête.
- Il n’est pas ici , dis-je d’un ton glacial, je me tournai vers la fenêtre, en direction du continent non loin, et lui montrai. Elle s’effondra au sol pleurant, sanglotant, je me mis à son niveau et la pris par l’épaule d’une façon bourrue.
- Comment tu t’appelles ?
- Agathe L…
- Legrand, n’est-ce pas ?
- Comment le sais-tu ?
- O rien, simple supposition …
Elle mis sa tête dans ses mains, et essaya de se calmer, mais c’était trop dur apparemment.
- Mais il est vivant, j’en suis sûr …
Elle se retourna vers moi, un faible lueur d’espoir brûlant dans ses yeux remplient de larmes.
- Aussi sûr que notre amitié est indestructible, concluais-je un léger sourire aux lèvres, une larme coula sur ma joue. Je la nettoyai vivement, m’en voulant d’être aussi faible.

Une fois la tempête finis, nous sortîmes de l'abri et je regardai au loin, vers le continent, au loin se profilai la svelte proue de notre petit bâteau et sa voile de torchons. J'en avait marre de ne rien faire, de rester planter sur cette île pourrite, je voulais aidé. Je descendis lentement la colline comme le bâteau se rapprochait de l'île. J'arrivai au quai et attendis le bâteau, accoudé à un mur. Au fond du bâteau, j'aperçus le corps d'un zombie attaché avec un papier sur le corps : " réservé au chercheur du Virus Z ". Un nouveau cas expérimental me dis-je. Un barbu sortit du bâteau, je m'enlevai de mon appuie et m'avança vers le barbu, qui était en fait Jules, déterminé à lui faire comprendre ce que je pensais. J'allais ouvrir la bouche lorsqu'il me vomit sur les chaussures.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Des zomzoms, des zomzoms, encore des zomzoms 2 (RP) Empty
MessageSujet: Re: Des zomzoms, des zomzoms, encore des zomzoms 2 (RP)   Des zomzoms, des zomzoms, encore des zomzoms 2 (RP) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Des zomzoms, des zomzoms, encore des zomzoms 2 (RP)
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Des zomzoms, des zomzoms, encore des zomzoms.....2 (commentaires)
» Des zomzoms, des zomzoms, encore des zomzoms.....2

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
L'antre du RP :: Futuriste :: Apocalypse-
Sauter vers: